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léchage d'escarpins
léchage de la pointe de mon escarpin |
Les plus fétichistes d’entre vous ne me contrediront sans doute pas si je dis qu’un des fantasmes les plus courants tourne autour du léchage du pied ou de la chaussure. Aussi pour cette série et pour faire suite à la contribution de Thierry j’ai opté pour le léchage d’une paire d’escarpins que j’adore. J'espère que ce parti pris vous plaira!
"LA MAÎTRESSE DE THOMAS" Chapitre II
Pour ceux qui s'en souviennent, il y a peu, j’ai publié le récit érotique de Plumedhomme
J’ai constaté avec plaisir qu’il avait été apprécié, aussi comme promis, je vous propose la suite. J’espère que ce nouveau chapitre vous plaira autant que le premier !
Merci encore à Plumedhomme pour sa contribution
Entrée en scène du narrateur
J’entrai dans la pièce presque nu, avec pour seul vêtement un simple collier de cuir, que Laura ne tarda pas à attacher à une corde. Elle tira sur le lien et me dirigea vers l’un des anneaux fixés dans le mur. Elle y enfila la corde, et s’éloigna, si bien que je fus collé dos au mur. J’avais l’habitude de ces jeux et ils me plaisaient de plus en plus.
Ma femme et Julie s’approchèrent de moi. Je savais ce qui m’attendait.
« - Tu es venu pour essayer d’honorer tes Maîtresses ?
- Oui, vous êtes magnifiques Maîtresses.
- Alors prouve-le avec ta langue, nous voulons te voir laper nos chaussures.
- Bien Maîtresses.
- Nous savons à quel point cela t’excite, mais garde à l’esprit que tu ne le fais pas pour ton plaisir, mais plutôt pour faire souffrir la petite merde qui est attachée au sol. Lui n’est pas digne de nous approcher. A toi de prouver que tu l’es toujours. Allez, lèche !
- Bien, Maîtresse, merci. »
J’adorais m’adresser ainsi à ma propre femme. Je sentais dans ces moments là que je n’étais plus du tout son mari, mais juste l’un de ses soumis. C’est Laura qui l’avait initiée aux plaisirs de la domination, et on peut dire qu’Anaïs avait gagné ses lettres de noblesse dans l’art de soumettre un homme.
Anaïs et Julie se placèrent face à moi, pieds joints, les chaussures bien alignées. Leurs escarpins luisaient, ils étaient magnifiques. Je les mangeais du regard, devinant quel bonheur ça allait être de les lécher.
Je commençai par ceux de Maîtresse Anaïs. Ma langue se posa sur le bout de la chaussure. Je respirai le doux parfum de ses bas de nylon, mêlé à celui du cuir vernis. Je lapais tendrement ces chaussures si excitantes, remontant à chaque coup de langue un peu plus haut. Je finis par la bride, en glissant ma langue entre le mollet d’Anaïs et la pièce de cuir. Je devenais incontrôlable, et Laura ne tarda pas à le sentir. Elle tira brusquement sur la corde, m’éloignant à nouveau des quatre pieds féminins.
« - Tu as intérêt à te calmer, il y a un spectateur aujourd’hui. Montre-lui l’exemple. »
Je m’exécutai et ralentit ma respiration, j’étais obligé de tirer sur la laisse pour que la douleur causée par mon collier me calme.
Maîtresse Julie me tendit son pied droit. Thomas ne perdait pas une miette de la scène.
« - Je veux que ton sperme coule sur mes bas, puis sur ma chaussure. Je veux que tu montres à notre prisonnier ce qu’il pourra faire s’il se tient bien. »
Je savais exactement ce qu’elles attendaient de moi. Je commençai à me branler doucement, tout en caressant l’escarpin de la sensuelle Julie. Mes mains glissaient sur le cuir. Cette jeune Maîtresse avait un regard de dominatrice parfait, je sentais le mépris au travers de ses yeux.
« -C’est bien, maintenant lèche ce que tu aimes tant. »
Ma langue glissait maintenant sur ses chaussures, et ma main accélérait ses mouvements de va-et-vient. Mon excitation atteignait son comble. Thomas gémissait de jalousie, il essayait de se tortiller pour avoir lui aussi le droit de se masturber.
Maîtresse Anaïs se colla à Julie, leurs deux pieds étaient maintenant côte-à-côte.
« -Garde un peu de foutre pour ton autre Maîtresse. »
Je levais les yeux et vit le regard de ces deux femmes magnifiques, qui n’attendaient plus que ma semence. Je redressai le torse, toujours agenouillé, et émit un premier râle. Elles collèrent le haut de leur cheville à mon gland. Le contact du nylon enflamma mon sexe, et je vis bientôt une première giclée de sperme se répandre sur l'un des bas de ma femme. Quel spectacle magnifique !
Mon corps entier bouillonnait, et le second spasme fut pour Julie. Le foutre se déversa abondamment sur son pied, à hauteur de la naissance des doigts de pied. Il coula rapidement sur le nylon de ses bas, fut ralenti par le cuir de l’escarpin, puis reprit sa course vers le bout de la chaussure.
Les deux femmes m’encourageaient :
« - C’est bien, vide bien ta semence sur nos pieds. On sait que tu adores ça. Tu es un bon petit. Honore-nous. Montre que tu nous aimes, que tu aimes nos jolies jambes. Jouis plus fort ! Allez ! On veut voir nos pieds couverts de sperme. »
De longues saccades de foutre inondèrent en effet les deux jeunes femmes. Le liquide blanc coulait à flots sur le cuir. J’étais au paradis. Au paradis des talons aiguille. Cela faisait des semaines que j'attendais ce moment. Quand j’avais fini de jouir, Anaïs se pencha vers moi, me caressa la nuque et défit mon collier.
« - C’est bien, tu peux retourner d’où tu viens maintenant. Nous allons voir si l’autre petit pervers a compris ce que nous voulons de lui. »
Je quittai la pièce, encore fourmillant de l’extraordinaire orgasme que je venais d’avoir.
« - Merci, Maîtresses. »
Je regagnai la pièce voisine et m'assis devant le téléviseur, pour voir ce qu'il allait advenir de Thomas.
Anaïs se dressa devant lui:
"- Comme tu ne sais pas te tenir, nous allons employer les grands moyens"
Laura quitta la pièce et revient quelques instants plus tard, munie d'un tabouret. Un détail attira l'attention de Thomas: ce tabouret, qui ressemblait plus à une table basse, était percé d'un trou au milieu du plateau.
Ma femme prit le sexe Thomas, toujours emprisonné, et le maintint vertical. Laura enfila délicatement le tabouret sur la verge du soumis. Les pieds du petit meuble étaient maintenant posés de part et d'autre de Thomas, à la manière d'un plateau de petit-déjeuner...sauf que Thomas se rendait bien compte que c'était sa queue le petit déjeuner!
Il essayait tant bien que mal de bander, mais les anneaux qui étaient toujours en place l'en empêchaient douloureusement.
Laura inspecta son installation, et déclara, satisfaite:
"- Voilà, maintenant il ne pourra plus se tortiller. Et sa petite queue est à nous. Admire maintenant le spectacle, mais sache que tu nous dois encore beaucoup! Tu ne soupçonnes pas le prix à payer...
- ...et tu n'imagines pas à quel point il va t'être compliqué de nous satisfaire. Mais comme nous ne sommes pas de mauvaises filles ou de vulgaires putes, nous allons te faire une "avance". Nous allons te délivrer de ta peine, mais il faudra nous offrir quelque chose en échange!, ajouta Anaïs.
- Vous voulez aussi de MA semence maîtresse?
- Tu n'y es pas du tout. Ton sperme nous appartient depuis le départ, tu ne jouiras plus sans notre bénédiction dorénavant. Non, ce que nous te demanderont est bien plus cher. Tu vois ces chaussures? Il va te falloir les nettoyer! Julie, retire lui-le baillon, qu'il puisse au moins me répondre!"
Julie s'exécuta.
Thomas envisagea les escarpins de ma femme, maculés de mon sperme.
"- Et si je refuse, Maîtresse?
- C'est simple, le prix à payer sera bien plus élevé. A un point que tu ne peux pas imaginer.
- J'ai...j'ai bien peur que je ne sois pas capable de faire ça Maîtresse...désolé...
- Eh bien si tu n'es pas assez pervers pour lécher le foutre d'un autre homme, nous trouverons bien quelqu'un pour le faire! Par contre tu vas payer cher. Tu connaîtras le prix de ta lâcheté après ta délivrance. A moins que tu ne préfères rester dans cet état? La balle est pour une fois dans ton camp!
- Alors? Tu te décides? Tu veux lécher du sperme? Ne pas jouir? T'exposer à une pire punition?
- J'ai besoin de jouir, Maîtresse. Mais j'ai peur du châtiment suivant.
- Nous allons bien voir si tu jouis..."
Sur ces mots, ma femme se dressa sur le tabouret. Ses talons étaient à quelques centimètres du sexe du soumis. Thomas avait une vue imprenable sur ses chaussures à talons, encore maculés de mon sperme.
"- Tu viens de te priver de mes chaussures et de mes jambes magnifiques, imbécile. Ton manque de respect te coûtera cher. Julie, cette petite lavette est à toi!
- Avec plaisir Anaïs, je crois bien qu'il ne pourra pas s'empêcher de se vider avec le petit traitement qui l'attend. Tant pis pour lui."
Julie s'agenouilla auprès de l'homme condamné, replaça son baillon, et retira les anneaux de son pénis.Thomas sentit son sang se ruer dans sa verge.
Julie prit la place de ma femme sur le tabouret.
La grande blonde était incroyablement belle vue "d'en-dessous" pensa Thomas: ses jambes étaient élancées, sa taille fine, sa cheville délicieusement dessinée, et la plante des pieds cambrée par l'incroyable hauteur de ses talons.
Elle se tenait maintenant debout, le sexe de Thomas coincé entre ses talons et l'avant de ses chaussures. Il la voyait ainsi de profil, la bave aux lèvres, et le sexe gonflé et prêt à exploser. Il ne pouvait retenir les secousses qui agitaient sa hampe, et à chacun de ces soubresauts incontrôlables il voyait son gland déposer une goutte de liquide séminal sous la semelle des escarpins.
"-Tu me mattes, sale pervers? Ce sont mes chaussures qui t'excitent? Tiens, on va voir si tu aimes ça..."
Julie glissa consciencieusement l'avant de la semelle de sa chaussure sur le gland de Thomas. Elle faisait de lents va-et-vient.
Thomas ne pouvait parler, mais il s'étouffait de plaisir, au point de gémir.
Julie accéléra ces caresses, tout en écrasant le sexe de son soumis entre sa chaussure et le bois froid du tabouret.
Thomas bouillonnait, il ne pouvait bouger, et sentait son sexe devenir douloureux de plaisir. Il brûlait.
Anaïs et Laura assistaient, amusées et excitées, à la scène.
Thomas regardait fixement le pied de Julie, il frottait le bout de sa queue, le talon venait parfois le piquer.
Son orgasme monta puissamment mais lentement. Il explosa en de longues saccades sous le pied de sa Maîtresse, les giclées de sperme venant mourir sur le tabouret et sur son ventre.
Thomas était enfin délivré...mais à quel prix?
Sitôt fut-il vidé, Thomas vit les trois femmes disparaître. Il était seul, toujours attaché, les couilles vides mais une question qui le taraudait désormais: qu'allait-il devoir faire "en échange" de cet orgasme.
La réponse ne se fit pas attendre. Laura entra seule dans la pièce, elle se dressa face au soumis.
"- Nous avons délibéré. Depuis que tu es ici, tu as pu profiter des talents de nombreuses de nos soumises. Ces femmes elles ne sont pas là par hasard. Nous les avons reçues en échange de faveurs que nous avons faites à des larves comme toi. Il va maintenant falloir que tu nous livres une femme.
- Mais...mais je ne connais pas de femme qui fasse ça, moi!
- Ca nous est bien égal, tu es marié à ce que je vois...tu n'aurais qu'à demander à Madame si elle veut bien venir sucer des bites à quatre pattes.
- Elle ne voudra jamais, c'est certain.
- Débrouille-toi. Rendez-vous la semaine prochaine, même jour, même heure...et bien sûr, tu seras accompagné."
Thomas balayait autant que possible l'image de sa femme en train de subir ce qu'endurent les soumises dans cette maison. Il ne pouvait se résoudre à la livrer comme une chienne à ses Maîtresses.
Laura le détacha, et c'est le coeur plein d'amertume qu'il quitta le numéro 19.
Thomas retourna à l'hôtel, il était plus de 2 heures du matin. Sa femme ne se doutait de rien, il avait prétexté un déplacement pour le travail.
Sa Maitresse, il l'avait rencontrée sur internet. Il était alors à mille lieues de savoir quelles allaient être les conséquences de cette soirée.
Demain il allait retrouver son épouse, en attendant les idées s'entrechoquaient dans son esprit: il avait passé une soirée troublante, excitante, il avait tremblé de plaisir, et maintenant il commençait à regretter.
Thomas dormit tant bien que mal, sachant que la journée du lendemain allait être spéciale. Il venait de passer un tournant de sa vie. Où cela allait-il le mener?
Moi je le sais, j'avais dû ramener ma femme il y a 5 ans au même endroit. Elle était devenue depuis son arrivée une Maîtresse confirmée, je dirais même une clé de voûte à cet édifice voué aux plaisirs fétichistes. J'étais fier d'elle, mais la route avait été longue!
A suivre…
petits jeux en escarpins
Dans le prolongement du récit, histoire de rester encore un temps dans des petits plaisirs fétichistes, je vous propose une nouvelle petite série en escarpins.
Je sais que certains m’ont demandé à voir des chaussures ouvertes, mais vu que ça ne collait pas vraiment avec le récit et que je ne voulais pas passer à autre chose sans transition, je réserverai ça pour des publications à venir
Chaussures fermées/chaussures ouvertes, la question de la semaine hi hi!
chaussures ouvertes |
Au gré des messages qui me sont envoyés, je me rends compte qu’il y a vraiment deux catégories distinctes de fans de chaussures :
- ceux qui aiment les chaussures fermées (ils aiment les escarpins et les bottes principalement) sont souvent sensibles aux matières, le cuir étant la matière fétiche par excellence.
- Ceux qui aiment les chaussures ouvertes (ils aiment les sandales et les mules principalement) sont souvent sensibles à la nudité relative du pied, aux orteils, etc
J’aurais donc tendance à penser que les fans de chaussures ouvertes sont avant tout des vrais fans de pieds et qu’ils ont d’une certaine façon un peu moins le culte de la chaussure et de la matière que les inconditionnels des escarpins.
Qu'en pensez-vous? Ca serait bien sympa de recueillir plein de témoignages sur cette question
Mes sandales fétiches
Le grand débat entre chaussures ouvertes et chaussures fermées étant posé, comme je l’ai promis à certains, voici le retour des chaussures ouvertes!
Pour marquer ce retour, j’ai choisi de vous présenter mes sandales fétiches. Elles sont hautes et fines et le côté vernis des brides donne un caractère vraiment sexy à ce modèle, bref j’adore ces sandales !
Lire les commentaires textes
Depuis le débuthello Sandra, pourquoi choisir alors? il faut faire les deux hi hi
merci pour ton com
Taon ? Pointe ? mon coeur balance...
Bonjour Etienne, ton enthousiasme pour cette série fait plaisir à lire! Effectivement, cela ne t'a pas échappé j'adore plus que tout avoir un homme à mes pieds qui me lèche avec dévotion tout ce que je porte à sa bouche hi hi...
merci pour ton savoureux commentaire!
Bonsoir Oh Divine Princesse,
Que j'aimerais être à sa place, ou plutôt à ma place, c'est à dire à vos pieds de Reine. Wouaou il a vraiment de la chance de pouvoir lécher vos escarpins et vos pieds sublime. Hummmmmmm le talon et la pointe de vos chaussures dans la bouche. Je vous les lèche entièrement Princesse d'autant plus que vos escarpins sont absolument sublimes et très sexy.
Et les photos sont très expressives. On sent que vous avez aimé ;)
Et moi j'ADORE TOTALEMENT
MAGNIFIQUE.
A très vite.
Etienne
Bonsoir Footslave, ravie que tu apprécies cette série et ce choix d'escarpins... je vais sans doute te décevoir, mais je n'envisage aucunement de me séparer de cette paire, je l'aime beaucoup trop!
merci pour ton gentil message
quel chanceux...j'aimerais trop être à sa place....j'adore tes escarpins ils sont trop sexy...le cuir noir c'est ce qu'il y a de plus sexy...c dingue le pouvoir que vos chaussures à talons en cuir peuvent avoir sur nous... nous sommes vos esclaves mesdames...je suis acheteur si tu les vends plus tard dans l'année quand tu les auras bien portées, usées...merci de me tenir au courant!!bonne continuation
Bonjour Charly, je suis ravie que ces escarpins te plaisent au point de toi vouloir aussi les lécher hi hi... merci pour ton com
c clair j'aurais bien voulu etre a sa place pour pouvoir te les lecher de plus c de bnnes shoes comme je les aimes
Bonsoir Louis, la Mata hari du fantasme dis tu, voilà une comparaison inspirée et bien originale hi hi... je suis en tout cas ravie que cette série soi pour toi un pur bonheur! merci ton gentil com
Bonsoir Ernest92, je suis ravie que cette idée te plaise!
merci pour ton message
Bonsoir Jerome, oui ce sont bien des bas que tu devines...merci d'apprécier cette série!
Bonsoir Thierry, oui je pense que tu as de nombreux fétichistes qui apprécient tes photos... même si je trouve que sur ta dernière série, ça mériterait plus de coms!
Même si j'essaie autant que possible, c'est toujours très difficile de satisfaire tout le monde à la fois dans une série: d'un côté les fans de pieds nus et de chaussures ouvertes et de l'autre les amateurs d'escarpins, de bas et même de bottes... comme il s'agissait de donner une sorte de suite logique au récit, j'ai opter pour bas et escarpins et je suis suis ravie que tu apprécies ce choix...merci pour ton message qui témoigne à lui seul de la force de ta passion hi hi!
Bonsoir Patrice, ravie que tu es trouvée dans cette série de quoi débuter une bonne journée hi hi...merci pour ton gentil com
Merci fdc, pur bonheur que ces photos(;-)))) Tes talons aiguilles me font fantasmer ! Les embrasser sur le pointe ! pur bonheur! Vite une autre série mata hari du fantasme! Bisous
Excellente idée cette série.
Bises
http://club.doctissimo.fr/ernest92/
sublime...la relation, les escarpins....le bas que l'on devine (?)...
Bonjour,
Et merci pour ces photos que tu as publiés sur ton site ... tout le plaisir est pour moi, heureux que cela puisse faire plaisir aux nombreux fétichistes que nous sommes .
j adore aussi ta série léchage d'escarpin je trouve cela sublime, de mon côté je préfére les pieds gainés, ce qui ne veux pas dire que je n aime pas les pieds nus, mais effectivement avec le temps pourri que nous avons en ce moment laissons nous encore le plaisir de vois des pieds gainés de bas profitons en un max...
Que c est bon de lécher la pointe d un escarpin ou le talon hummmm j adore .. j adore aussi quand mon amie se déchausse et juste à ce moment la elle me demande de lecher l interieru de sa chaussure .. hummm ce mélange de transpiration de cuir ohhhh j adore .. ensuite elle me plaque son pied sur ma bouche juste sous mon nez et je dois respirer lécher m ennivrer de cette odeur ohhhh quel plaisir encore encore encore
superbe série de photo jais bien fait de me lever aujourd'hui ça commence super bien merci a vous
Bonjour Patrick, merci d'en redemander c'est bien gentil ça... mais ne t'inquiètes pas, il y en aura encore hi hi!
merci pour ton com
Bonjour Céré et Domi, vous avez bien raison, le pouvoir d'attraction des talons hauts est sans limites pour les passionnés hi hi... je crois en effet me souvenir que Monsieur était plutôt très heureux ce jour là, compte tenu du fait que c'est une paire qu'il apprécie particulièrement hi hi...merci en tout cas d'avoir trouver cette série sublime!
gros bisous
Bonjour Mike, certes l'été est là mais les températures et le temps pourri de ces dernières semaines permet encore allègrement de pouvoir mettre bas et escarpins... mais sois rassuré, j'aime trop les chaussures ouvertes pour ne pas vouloir faire des photos avec hi hi... alors oui, j'ai bien noté ta suggestion!
merci pour ton gentil message
moi j'adore et j'en redemande hi hi hi hi
Doux fétichisme ! Amour des talons hauts ! Passion de ces talons aiguilles qui feront toujours rêver et fantasmer ! Lécher et embrasser la pointe d'un escarpin ou son talon aiguille est un bonheur pour un homme et Monsieur, ici, doit être très heureux et surtout très fier d'avoir pu toucher et montrer toute son adoration pour tes talons aiguilles qui sont absolument divins... Tout en tenant tes belles jambes joliment gainées. Sublime série ! Mille gros bisous tout tendres.
MERCI POUR CES JOLIES PHOTOS MAIS MAINTENANT C'EST L'ÉTÉ IL FAUT DES PHOTOS SANS COLLANT ET VOUS NOUS MONTREZ TES JOLIES ONGLES VERNIS ET COLORES DONT ILS SERONT BON A LES LÉCHER
JUSTE UNE RECOMMANDATION MERCI ET BIZZZZZ SUR TES JOLIES PIEDS MMM......