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"LA MAÎTRESSE DE THOMAS" Chapitre III
Pour les fidèles lecteurs du blog qui ont apprécié les deux premiers chapitres du récit érotique de Plumedhomme, voici donc la suite des aventures de Thomas. Vous verrez que le récit est de plus en plus scénarisé et gagne selon moi en intensité. J’espère que vous aimerez autant que moi cette suite et que vous attendrez avidement le chapitre IV hi hi !
Merci encore à notre auteur pour sa magnifique contribution !
Thomas prit la route de bonne heure pour rejoindre l'aéroport. Il était steward pour une compagnie aérienne qui assurait des vols intérieurs. Ces courtes distances lui permettaient le plus souvent de rentrer le soir à la maison. Il retrouvait alors sa femme, Linda. Rencontrée à la fac de droit, elle avait réussi à devenir avocate...lui avait échoué, mais il ne se plaignait pas de sa profession: le salaire était correct, l'ambiance en équipage était détendue mais professionnelle, et il pouvait profiter de vols gratuits qu'il utilisait avec Linda, pour des week-ends en amoureux à l'autre bout du pays.
Thomas et son épouse ne connaissaient pas la routine, chacun cherchait constamment à surprendre l'autre. Leur vie sexuelle se voulait épanouie, sans pour autant devenir synonyme de débauche. Ils s'étaient fixé des règles, permettant à la fois d'explorer les plaisirs cachés de l'autre, mais sans toutefois faire intervenir une tierce personne dans leurs ébats. Thomas était satisfait de cette harmonie, mais conservait tout de même certains fantasmes pour lui. Le souhait d'être dominé en faisait partie.
Pour ce qui est du fétichisme des hauts talons, il en avait fait part à Linda. Alors qu'il conduisait toujours vers l'aéroport, il repensait à cette soirée un peu spéciale.
Ce soir-là, Linda rentrait du travail tard. Vers 20h30, la porte s'ouvrit et Thomas redécouvrit cette splendide brune dont il avait fait chavirer le coeur cinq ans auparavant. Elle rentrait d'une journée de plaidoiries, à en juger par son tailleur strict. Ses fines jambes étaient voilées de collants noirs, et son allure élancée par des talons aiguille noirs, très simples mais terriblement élégants.
Plutôt habituée aux ballerines, Linda mettait un point d'honneur à porter des talons pour les "grands jours" comme elle aimait les appeler. Thomas s'en délectait, mais à cette époque il n'en avait pas encore trop parlé à son épouse.
Linda posa son sac à terre, retira sa veste et l'accrocha dans l'entrée. Thomas la rejoint pour l'embrasser. Elle était un peu plus grande que lui, perchée sur ses hauts talons.
"-Bonsoir Maître, entama Thomas d'un ton très distingué, ironique mais fier de la profession qu'exerçait sa femme.
- Bonsoir Monsieur, comment allez-vous?
- Plutôt bien depuis que vous êtes-là! La journée fut bonne?
- Vraiment dure, pas mal de crapules à défendre.
- Des hommes dangereux?
- Pas autant que vous..."
Ce qui n'était au départ qu'une plaisanterie de Thomas se transforma assez rapidement en jeu de rôles. Évidemment, il était plus difficile pour lui de jouer le malfrat que pour elle de camper une avocate.
"-Comment pouvez-vous dire que je suis dangereux? Vous êtes censée me défendre!, répondit Thomas.
- Bien sûr, mais je souhaiterais voir votre part de bonté, justement.
- Il y a bien une chose que j'aimerais vous donner, répondit le "délinquant" en prenant la main de Linda.
- Qu...quoi donc? fit-elle mine d'hésiter."
Thomas attira la main de Linda sur son pantalon. Elle sentit le sexe de son mari/client dressé sous le tissu.
"- Mais enfin, vous n'y pensez pas?, s'offusqua la belle avocate.
- Vous savez, Maître, pas une femme ne m'a touché depuis que je suis en préventive.
- Eh bien je ne suis pas là pour ça. Suivez-moi dans mon bureau. Et ne vous avisez plus de me toucher!"
Thomas suivit sa femme dans "son bureau", en fait leur salon.
Elle posa une fesse sur la table qui accueillait leur ordinateur portable, et invita son "client" à s'asseoir.
"- Prenez place.
- Merci."
Les jambes croisées, presque assise sur le bureau, Linda était terriblement séduisante aux yeux de son mari. Il détailla son visage, les boucles brunes de ses cheveux, ses grands yeux bleus, son chemisier blanc, sa jupe qui dévoilant ses genoux, puis ces mollets magnifiques. Il arrêta son regard de longues secondes sur les escarpins qu'elle portait.
"- Vous plaisent-ils au point de ne plus me regarder? demanda Linda, tout en décrivant de petits cercles du bout du pied.
- Oui, Maître, j'aime beaucoup ces chaussures. Je dois vous avouer que chaque fois que j'entends le bruit de vos
talons qui claquent je suis très excité.
- Eh bien, je ne pensais pas cela de vous!"
Linda ne savait plus trop si cet aveu était celui de son mari ou du suspect...Elle se prit tout de même au jeu, pour en savoir plus.
"- Et ces chaussures vous excitent-elles maintenant?
- Oui, elles vous vont à merveille.
- Elles vous plaisent autant que mon chemisier?, demanda-t-elle en défaisant un bouton de sa chemise, laissant apparaitre l'échancrure de sa poitrine."
Thomas hésita, puis se dit que caché derrière son personnage, il pouvait faire part de manière détournée de son fantasme à sa femme.
"- Vous avez une fort belle poitrine Madame, mais ce sont vos pieds qui me font bander à l'heure actuelle!
- Mes pieds ou mes chaussures?
- Vos chaussures à talons...
- Vous savez que vous êtes vexants?
- J'y peux rien Maître, c'est vous qui les exhibez sous mes yeux...
- Et comme ça? Je les exhibe assez mes escarpins?"
Linda se pencha en arrière, en appui sur ses coudes, et posa son pied droit sur le torse de son mari. Thomas sentit le talon appuyer délicieusement sur son ventre.
"- Maître, j'ai...j'ai envie de vous!
- Vous rêvez mon pauvre, il me semble que vous n'avez envie que de mes chaussures."
Thomas espérait que son avocate chérie allait lui demander de se masturber sur ses escarpins.
"- Mais je ne suis pas le genre de femme qui se laisse doubler par de simples accessoires. J'ai d'autres cordes à mon arc...
- Lesquelles?"
Linda se pencha sur son mari, et déboutonna son pantalon. Elle descendit son caleçon et sorti son sexe durcit. Elle commença à le branler avec douceur. La jeune avocate s'agenouilla, et se faufila entre les jambes de Thomas.
Presque déçu de ne plus voir les hauts talons de sa femme, Thomas se laissa tout de même aller à la douce caresse.
Linda prit la base du sexe entre deux doigts, comme pour le toucher le moins possible. Sa bouche s'en approcha pour y déposer des baisers, en évitant soigneusement d'embrasser le gland gonflé. Elle finit par le laper d'un long coup de langue qui débuta aux testicules.
Thomas adorait quand sa femme lui prodiguait des fellations habillée...et en particulier en talons. Elle engloutit le sexe de son mari, et le suça goulument tout en le branlant. Thomas montrait sa difficulté à retenir son orgasme.
Linda, qui n'appréciait pas spécialement le goût du sperme, ouvrit encore un bouton de son chemisier, et finit par le branler sur sa généreuse poitrine. Les mouvements de va-et-vient était lents et méthodiques, et Thomas ne tarda pas à gicler de longues saccades de foutre sur le soutien-gorge de dentelle noire.
"- Alors, ce n'est pas plus excitant que mes escarpins, petit pervers?
- Si, c'est délicieux, mais j'adore quand tu portes tes hauts talons, Chérie! Ce soir ça m'a excité plus que tout!"
Thomas était redevenu Thomas, le petit jeu était terminé. Linda, irritée par la remarque de son mari, quitta le salon pour se laver à la salle de bain.
Elle n'en revenait pas qu'après cinq années de vie commune il ne lui annonçait que maintenant son penchant.
Le temps de se remémorer cette histoire et Thomas était arrivé à l'aérogare. Il rendit le véhicule de location et rejoignit ses collègues dans la zone d'embarquement des équipages.
Trois vols le séparaient de son épouse.
Si elle avait était si réticente au fétichisme de son mari, il savait qu'elle refuserait catégoriquement ce que faisaient les soumises du numéro 19.
Et plus il y repensait, plus il avait envie d'y retourner. Il passa la journée à réfléchir à une "solution".
Thomas rentra chez lui, le cœur alourdit par la culpabilité mais l'esprit embrumé par les visions de la veille. Ces femmes qui l'avaient dominé, celles qui étaient soumises, ses fantasmes inavoués qui prenaient forme, ces orgasmes tellement libérateurs, ces talons hauts qui ne cessaient de l'obséder. Il fallait qu'il y retourne...mais il devait être accompagné.
Sa femme Linda, n'accepterait jamais. Il avait une semaine pour lui trouver une "remplaçante", s'il voulait espérer retourner au "numéro 19". Il lui fallait une femme suffisamment soumise et perverse pour accepter le même traitement que celles qu'il avait rencontrées là-bas.
Après quelques jours à écumer secrètement les forums libertins et autres petites annonces, sans succès, Thomas se résolut à trouver une escort-girl qui accepterait de l'accompagner. Il pensa qu'il lui faudrait une jeune femme belle, qui n'a pas froid aux yeux, bisexuelle, et, détail qui a son importance: qui aime porter de hauts talons.
Carole était la candidate idéale: son site web la présentait comme une professionnelle "aguerrie", ayant déjà tourné dans des films pornos amateurs, acceptant la plupart des pratiques qu'elle risquait de rencontrer le grand soir. C'est comme ça que Thomas l'avait baptisé dans son esprit: "le grand soir".
Après avoir parcouru le site de Carole un nombre incalculable de fois, il finit par l'appeler:
"- Allo?
- Bonjour Mademoiselle, je...j'aurais besoin de vos services.
- Oui, quel jour?
- Ce serait jeudi soir...
- Vous serez dans une chambre d'hôtel ou vous préférez me rejoindre dans mon studio? Il y a là-bas tout ce qu'il faut...
- Je souhaiterais que vous m'accompagniez dans une sorte de soirée échangiste.
- Oui, j'ai déjà fait ça, il n'y a pas de soucis, à première vue. Vous avez vu mes tarifs?
- C'est 1200€ pour une soirée complète, c'est bien ça?
- Effectivement, par contre dans le cas de demandes comme celles-ci, je préfère dans un premier temps rencontrer le client."
Thomas fut surpris, il ne s'attendait pas à devoir passer un "entretien". Heureusement, son emploi du temps lui permettait une escale dans la même ville la veille du grand soir.
"- Ce serait possible de se rencontrer mercredi, en début d'après-midi?
- Un instant, je regarde si je suis dispo."
La voix de la jeune femme était douce mais pleine d'assurance. Thomas l'imaginait en train de feuilleter son agenda, allongée sur le lit d'un client...
"- Ok, pas de problème pour mercredi après-midi. On pourra discuter de vive voix de votre petite soirée!
- Où peut-on se retrouver?
- Je travaille de midi à treize heures dans un hôtel proche de l'aéroport.
- Parfait, moi aussi je serai dans les parages!
- Ah, vous voyagez beaucoup?
- Euh...oui, plutôt! répondit le steward, gêné par la question.
- Rendez-vous à 13h15 au bar de l'aérogare? proposa Carole.
- Plutôt au bar de l'hôtel qui se trouve en face du terminal.
- Ok, comme vous voulez. À bientôt alors!"
Thomas craignait d'être surpris avec cette femme par ses collègues. Mais il trouverait bien une explication, et le jeu en valait la chandelle. Il avait vraiment besoin de Carole.
Le fameux mercredi ne tarda pas à arriver. Thomas quitta son uniforme de la compagnie pour un costume plus discret, et rejoint le bar de l'hôtel. Il était terriblement nerveux. Il ressentait la même angoisse à l'idée de rencontrer une prostituée que celle que doivent éprouver les dépressifs qui voient pour la première fois un psy, pensa-t-il. Elle avait les moyens de résoudre en partie ses problèmes. Sa priorité était de rentrer à nouveau au numéro 19, et Carole était son précieux sésame.
Elle entra dans le bar cinq minutes après Thomas. Il la reconnut immédiatement, grâce aux clichés de son site internet. Elle était encore plus belle en réalité: sa longue chevelure blonde était hypnotisante, le vert de ses yeux était rendu encore plus éclatant par son maquillage discret mais efficace. Carole traversa la pièce à la manière d'une star de cinéma. Son regard et sa démarche étaient pleins d'assurance, un léger sourire parcourait ses lèvres voluptueuses. Son corps ondulait à chaque pas, les hanches mises en valeur par une jupe s'arrêtant aux genoux, mais fendue sur le coté. Elle portait des escarpins rouges, dont le talon semblait interminable. Un bon point pour elle, pensa Thomas. Physiquement et vestimentairement elle avait tout ce qu'il fallait pour faire son petit effet le lendemain.
Thomas s'avança vers la jeune femme:
"- Bonjour, vous êtes Carole?
- Oui c'est bien moi."
La poignée de main fut brève et douce. Thomas sentit immédiatement le parfum enivrant de la belle.
"- Eh bien moi c'est Thomas. Enchanté Mademoiselle.
- Tu peux m'appeler Carole...et me commander un verre de vin!"
Thomas fit signe au serveur et décida s'accompagner Carole. Les deux verres furent rapidement servis. Ils tintèrent, et la jeune femme porta un toast "au plaisir".
"- Alors, tu as toujours besoin de moi pour la soirée de demain? demanda Carole.
- Oui...
- Il va falloir être un peu plus précis que ça, c'est quel genre de petite sauterie? Entre amis? Collègues de bureau? Couples?
- Pas vraiment, il s'agit plutôt d'un genre de club...
- C'est un club échangiste?
- Pas vraiment, non plus..."
Thomas expliqua sa situation, ses fantasmes, sans entrer dans tous les détails de sa dernière visite.
"- Si j'ai bien compris, tu es un fétichiste des talons hauts, un peu trop curieux, et tu dois m'amener en pâture dans une de tes soirées, résuma Carole, le sourire aux lèvres.
- Oui, c'est ça, confirma Thomas.
- Alors c'est ok, tu peux compter sur moi. Je ne connais pas l'endroit dont tu parles, mais je sens que je pourrais m'y plaire...Une dernière question...
- Oui?
- Toi qui es un genre de spécialiste dans ce domaine, que penses-tu de mes nouveaux escarpins? Ils te plaisent?"
Carole glissa son pied le long de la jambe de Thomas. Le mollet nu de la jeune femme était doux et fuselé. La pointe de la chaussure glissa sous le tissu du pantalon. Thomas sentait le cuir sur sa peau. Le serveur reluquait discrètement le petit manège du couple.
"- Tes chaussures me plaisent beaucoup, avoua Thomas.
- Tu aimerais que je les porte demain soir?
- Oui, ils me paraissent parfait!
- Je préfère vérifier qu'ils te plaisent vraiment..."
Joignant le geste à la parole, Carole posa une main sur la cuisse de Thomas. Elle la remonta discrètement, jusqu'à atteindre l'entrejambe de son client.
"- Mais tu bandes comme un dingue, mon chéri! Je vois quel effet te font mes escarpins. Promis, demain je porterai les mêmes, avec une petite surprise en supplément."
Carole déposa un baiser sur la joue de Thomas, tout en retirant sa main.
"- À demain, on se retrouve ici!
- Oui c'est parfait, à demain!"
Thomas était tout ému. Cette rencontre dépassait toutes ses espérances. Il regarda l'escort-girl s'éloigner, en songeant à la soirée qu'ils allaient passer le lendemain.
Thomas prit en compte la voiture de location et se dirigea vers l'hôtel où il avait rencontré Carole la veille.
A l'excitation mêlée d'angoisse causées par cette seconde soirée au "numéro 18", s'ajoutait le plaisir de redécouvrir la belle escort.
Elle portait toujours ses talons rouges, mais ses jambes étaient en plus gaînées de bas noirs, dont la courte jupe de cuir qu'elle portait laissait deviner la dentelle. Un petit top en cuir également affichait un décolleté ravageur. Les épaules de la jeune femme étaient couvertes par un foulard rouge, rappelant la couleur des chaussures.
Carole était à la fois sexy et terriblement élégante, pensa Thomas. Elle l'accueillit d'un sourire éclatant et d'un baiser sur la joue. Tous deux montèrent en voiture, et le steward ne put s'empêcher de regarder les jambes de sa passagère. Cette dernière ne tarda pas à remarquer les oeillades de son voisin.
"- Ce sont mes jambes que tu regardes avec envie?
- Je dois avouer que oui, elles sont magnifiques...
- Ca te dirait de passer un petit moment rien que tous les deux, avant d'arriver?
- Ce serait avec plaisir, mais j'ai bien peur que nous soyons attendus à 19h00 précises.
- Il va bien falloir que nous réglions quelques détails avant d'arriver là-bas, notamment mon petit cadeau...Arrête-toi à droite, là!"
Thomas s'exécuta, la voiture s'engouffra dans un sentier forestier. Il réalisait qu'il n'avait toujours pas payé Carole.
"- Voici tes 1200€, dit-il en tendant une enveloppe.
- Merci, je préfère éviter les mauvaises surprises."
Carole vérifia le montant et rangea l'enveloppe dans son sac.
"- A propos de surprises, il y a un autre domaine dans lequel j'aime savoir à quoi m'attendre!
- C'est-à-dire? s'inquiéta Thomas.
- Je préfère savoir comment tu es membré avant de te découvrir en public.
- Ce n'était pas suffisant hier soir? Tu as pu t'en rendre compte, non?
- Pas comme j'en ai l'habitude...
- Nous n'avons pas le temps!
- Peu importe, c'est juste pour mesurer. Ca ne prendra qu'une seconde.Tu verras, j'ai ma petite méthode à moi."
Carole se pencha sur Thomas et déboutonna son pantalon, elle glissa sa main dans le caleçon et en extirpa le sexe déjà gonflé.
"- Mais tu bandes déjà mon joli! C'est mes jambes qui t'ont fait cet effet?
- Oui, tes jambes et tes pieds, avoua Thomas. Allons-y, maintenant, nous sommes attendus, s'impatienta-t-il.
- Mais je n'ai rien mesuré du tout! Regarde comme je m'y prends."
Carole masturba quelques instants le sexe de Thomas, qui savait que le temps était précieux et qui se tortillait d'impatience.
"- Maintenant qu'il est à sa taille optimale, je vais vérifier qu'il est digne de se montrer en public.", expliqua la jeune gourmande.
Carole ouvrit en grand la bouche et, sans toucher le sexe dressé qu'elle tenait par la base, elle l'engloutit entre ses lèvres. Thomas sentit l'air chaud entourer sa queue.
La belle laissa ainsi la hampe atteindre le fond de sa bouche. Lorsqu'elle sentit le gland se bloquer légèrement, elle tira la langue et déglutit pour le laisser pénétrer dans sa gorge. Thomas ferma les yeux de plaisir, il sentit la salive de Carole envahir le sommet de sa bite. Elle referma les lèvres.
Lentement, elle remonta le long de la queue, le cercle de sa bouche caressant la peau tout en y exerçant une délicieuse pression.
"Cette pute sait y faire", pensait Thomas, "mais on a vraiment pas le temps. Je vais être puni à coup sûr si on arrive en retard".
Lorsque sa bouche atteint le gland, Carole le suça délicatement, puis, après avoir totalement retiré le sexe de sa douce étreinte, elle l'observa en déclarant:
"- Il a la bonne longueur, la bonne épaisseur, maintenant je vais vérifier que tout fonctionne bien!
- Non vraiment Carole, on a pas le temps là, il faut qu'on y aille.
- Ne bouge pas mon grand, ça va être rapide."
Carole engloutit a nouveau le sexe de Thomas, au comble de son excitation. Elle écrasa le gland au fond de sa bouche, tout en attrapant la main de Thomas. Elle la posa sur sa cuisse, puis l'invita à la remonter.
Renonçant à toute volonté de s'en aller et s'avouant vaincu, le conducteur caressa les bas de la prostituée, puis pelota ce cul si parfait, sa main pétrissant longuement la douce peau. Il adorait la tenue de Carole, son assurance, et son ardeur à lui tailler une pipe.
La douceur de la bouche de Carole, la vue de ses escarpins se balançant au rythme de la fellation eurent bientôt raison du jeune homme. Thomas explosa dans la bouche de cette pute avec un long râle. Elle engloutit le sexe au plus profond, de façon à sentir les jets de sperme brûlant dans le fond de sa gorge. Thomas mit une grande claque sur le cul de cette salope, et appuya sur sa nuque, pour être bien sûr qu'elle n'allait pas retirer sa délicieuse bouche pendant l'orgasme.
Carole ne manqua pas une goutte, elle s'en délecta avec passion. C'était une prostituée, oui, mais quand le client avait une queue comme celle-ci, il fallait y faire honneur. Elle sentit le foutre couler le long de sa gorge. Elle adorait cette sensation. Elle pourlécha le gland, en regardant Thomas dans les yeux.
"- Maintenant on peut y aller, et ne me dis pas que cette petite pause t'a déplu!
- Oui, on peut y aller..."
Thomas regarda sa montre: ils avaient fait une pause de 15 minutes. Ils allaient arriver en retard, pensa-t-il.
En effet, le couple arriva devant le "numéro 18" vers 19h10. Carole était trempée à l'idée de la soirée qui l'attendait, et pour ne rien gâcher son client était charmant.
Galant, c'est Thomas qui lui ouvrit la porte, Carole pénétra la première dans le long couloir rouge.
La soirée allait-elle tenir ses promesses?
En entrant dans la première pièce, Carole et Thomas découvrirent un écran de télévision, il s'alluma à leur arrivée. Des instructions y défilèrent:
"Déshabillez-vous, en silence, individuellement, l'un après l'autre, sans que votre partenaire ne vous aide. Placez chacun vos affaires dans un tiroir de la commode. Pour M'attendre, positionnez vous à quatre pattes, mains à plat, dos cambré, les yeux fixant le sol. Préparez vous à accueillir votre Maîtresse. Je veux trouver deux chiennes nues à mon arrivée."
Carole sourit à la lecture du message, et commença à se dévêtir, tout en jetant un regard complice à son compagnon. Thomas la regarda, il découvrit sous son petit haut de cuir sa poitrine menue mais délicieusement dessinée. La jeune femme laissa tomber sa jupe à terre, laissant apparaître son sexe vierge de tout poil, ses jambes fines, ses fesses rebondies. Elle avait décidément un corps taillé pour le plaisir, pensa-t-il.
Elle était nue, ne portant plus que ses talons et ses bas. Elle plia son top, sa jupe, et son foulard. Elle plaça le tout, ainsi que son sac, dans un tiroir.
Elle se retourna, s'adossa à la commode et interrogea Thomas du regard.
Il commença à son tour de se déshabiller. Carole ne perdit pas une miette du spectacle. Il était rare qu'elle ne fut pas obligée d'effeuiller elle-même ses clients.
Thomas avait un corps de sportif, songea-t-elle, il était svelte et plutôt carré d'épaules.
À son tour, il rangea les vêtements dans la commode.
Un silence étrange s'était progressivement installé dans la pièce. Thomas et Carole échangèrent un dernier regard, s'agenouillèrent, côte-à-côte, puis posèrent leurs mains en avant. Tous deux regardaient le sol, conformément aux instructions.
Ils attendirent ainsi une dizaine de minutes. Une porte s'ouvrit, laissant entrer le claquement des talons hauts portés par Laura. Thomas voulut lever la tête pour voir le corps de sa Maîtresse, mais il fut rapidement bloqué par un talon planté dans sa nuque.
"- Tu me regarderas quand je te le dirai. Apparemment tu as autant de mal à comprendre les règles qu'à être ponctuel. Il en va de même pour ta femme qui t'a accompagné. C'est bien, tu as réussi à la convaincre, mais ce n'est pas pour autant que vous allez couper à une punition."
Carole était excitée, elle avait toujours été attirée par le BDSM, mais elle préférait éviter ce genre de relations avec ses clients. La simplicité et la candeur de Thomas l'avaient mise en confiance.
"- Nous allons commencer par la petite chienne qui a oublié de retirer ses bas et ses chaussures. Tu as quelque chose à dire pour m'expliquer ta tenue?
- Je voulais rester sexy...
- Premièrement, tu dois m'appeler "Maîtresse". Et chacune de tes phrases doit se terminer par mon nom. Apparemment l'autre larve ne t'a rien appris. Deuxièmement, ici il n'y a que moi qui puisse être "sexy", comme tu dis.
- Bien Maîtresse, répondit Carole, excitée, mais également intimidée par l'assurance de Laura.
- Roule-toi sur le dos, en gardant les jambes dans leur position actuelle. Je veux qu'elles soient relevées, et que tes talons ne touchent sous aucun prétexte le sol. Ici, on n'entend que le bruit de MES chaussures!
- Oui, Maîtresse."
Malhabilement, à la manière d'un chiot, Carole se laissa glisser sur le flanc puis le dos. Elle était maintenant les quatres fers en l'air.
"- Pose tes bras, tu es ridicule, chienne!
- Bien Maîtresse."
Thomas regardait la scène, en jetant de discrets coups d'oeil.
Moi je ne perdais pas une miette du spectacle depuis la chambre voisine, grâce à la camera placée dans la pièce blanche. Carole était sur le dos, les jambes fléchies à angle droit et relevées. Maîtresse Laura leva son regard vers la caméra, et me fit signe de venir.
Nu mais masqué, je pénétrai à mon tour dans la grande pièce blanche. Carole regardait dans ma direction, elle me détailla de haut en bas.
"- Baisse les yeux, sale perverse. Tu ne peux pas t'empêcher de regarder un homme? Ils ne sont rien! Et toi, arrête de faire le beau. Déplace-toi comme je te l'ai appris, m'ordonna Laura.
- Bien Maîtresse."
Je la rejoints à quatre pattes. Arrivés à ses pieds, Elle me caressa la nuque. J'adorais ces moments de douceur avant la douleur.
"- Déshabille cette petite chienne.
- Bien Maîtresse."
J'allais enfin pouvoir toucher ce corps splendide, que j'avais eu tout le loisir de mater sur la télévision les 15 dernières minutes. Carole m'avait bien excité, par sa façon suggestive de se dévêtir, par sa cambrure quand elle attendait Laura.
Et maintenant c'était ses chaussures qui me faisaient bouillonner. Je m'accroupis face à elle, profitant de la vue de ses fesses, l'arrière de ses cuisses gainées de bas noirs, et en premier plan, ses jolis pieds chaussés de cuir rouge.
"- Tu peux commencer, retire-lui ses escarpins. Ça t'exciterait de les lécher, n'est-ce-pas?, me demanda Laura.
- Oh oui, Maîtresse, mais je ne les lècherais que si c'est Vous qui les portez, lui rétorquai-je.
- Pour ta bonne réponse je te donne exceptionnellement le droit de lécher ceux de cette chienne, puis de les retirer.
- Merci Maîtresse."
Je bandais fermement, et visiblement Carole ne perdait rien de mon excitation. Elle jetait des regards en coin en direction de mon sexe. Je pris l'une de ses chaussures par le talon, avec mes deux mains. Carole étendit sa jambe. Je portai alors l'escarpin à ma bouche, et en léchai le cuir.
Ma langue poursuivit son parcours vers le pied de la soumise, le contact du bas sur mon visage décupla mon plaisir. J'adorais sentir les arrêtes saillantes du talon dans ma main. Je ne tardai pas à y déposer des baisers, tout en caressant les mollets de la belle. Mes mains s'attardaient sur ces jambes magnifiques et ma bouche engloutit le talon pointu et long de sa chaussure. Je frottai ensuite ma joue sur les chevilles de Carole, à la manière d'un chat, tout en laissant ma langue se délecter du cuir au goût si délicieux.
Carole était visiblement excitée, je la voyais littéralement se tortiller de plaisir. Le frottement de ses cuisses attisait le feu qui naissait entre ces dernières. Je devinais son sexe se gorger de désir, et ses lèvres semblaient prêtes à s'ouvrir. À mesure que mon excitation montait et que mes caresses s'accéléraient, je vis de la mouille perler sur le sexe de la soumise. Une goutte glissa entre ses lèvres et vint mourir sur son petit anus. J'aurais adoré pouvoir la prendre, et Maîtresse Laura le savait. Elle savait également quelle frustration cela allait-être pour moi de caresser le magnifique corps de sa soumise sans pouvoir en jouir.
"- Ça suffit comme ça, maintenant retire-lui ses escarpins et ses bas.
- Bien, Maîtresse."
Une à une, je retirai avec délicatesse les chaussures de Carole et les posai à coté d'elle. Ces escarpins étaient magnifiques, j'aurais adoré pouvoir jouir dedans, pensai-je. Mais il me restait à retirer les bas de la soumise.
"- Tu peux reposer tes pieds au sol maintenant, autorisa Laura.
- Merci, Maîtresse", répondit Carole, désormais soumise et plus excitée que jamais.
Thomas était terriblement échauffé par la scène, je le voyais qui bandait à coté de sa voisine, sa position lui avait permis de voir le visage de Carole alors que je lui léchais les chaussures. Il était comme moi, je savais qu'il bouillonnait de frustration de ne pas être à ma place. Carole excitait tout le monde dans cette pièce.
Ses pieds habillés de nylon rejoignirent le sol froid. Elle sentit un frisson de plaisir parcourir son échine. Mes doigts se posèrent sur une première cuisse, et écartèrent la dentelle jusqu'à éloigner la partie siliconée des bas de la peau de Carole. Mes mains retirèrent avec douceur et lenteur cette lingerie terriblement érotique, et Carole se cambra de plaisir au contact de mes doigts le long de ses jambes fuselées.
J'étalai méthodiquement le premier bas sur le sol, retirai le second et en fit de même.
Ces symboles de féminité étaient disposés tels des trophées sur le sol.
Laura, satisfaite de sa soumise désormais totalement nue, me fit signe de me lever.
"- Tu vas attraper cette chienne désobéissante par les chevilles, et la soulever pour que je puisse lui donner la correction qu'elle mérite, m'ordonna Laura.
- Bien Maîtresse, comme cela?"
Je pris les deux chevilles de Carole, de façon à les regrouper en croisant ses jambes étendues. Elles étaient maintenant verticales, et je n'eus qu'à soulever ma proie de quelques centimètres pour que Maîtresse Laura puisse deviner sa petite chatte trempée. Mais c'était avant tout ses fesses qui l'intéressaient.
Maîtresse Laura se dirigea vers la commode, et sortit un instrument du tiroir du bas. Elle me rejoint avec la badine de cuir et prononça la sentence à sa soumise:
"- Pour ne pas t'être déshabillée comme je l'avais demandé, et comme tu as l'air d'aimer le rouge, je vais rougir ton cul de désobéisssante avec cette badine."
Laura posa d'abord la fine tige de cuir sur les fesses de sa victime. Carole se trémoussa, excitée par le contact de l'objet.
Un vif et court claquement retentit dans la pièce.
La soumise ne pût retenir un cri de surprise. Je dus resserrer mon étreinte sur ses chevilles qui se débattaient. Le coup cinglant laissa place à une douce chaleur, presque douloureuse, qui irradia progressivement les fesses de Carole.
À peine s'était-elle remise de ce premier coup que Maîtresse Laura en claqua un second. Elle zébra ainsi le cul de Carole de dix coups de badine, chacun espacé de deux secondes, laissant le temps à la soumise de sentir le précédent. Carole était émue de surprise, de douleur, et d'un plaisir tout neuf pour elle.
Les fesses de Carole étaient désormais rouge vif. Satisfaite du résultat, Maîtresse Laura m'ordonna de reposer délicatement la jeune femme. La douce fraicheur du sol apaisa la douleur de Carole. Elle était essoufflée et semblait épuisée. Je pouvais cependant distinguer un sourire de bien-être éclairer son visage.
"- Reprends ta position de chienne. Et toi viens au pied.
- Bien Maîtresse, répondîmes-nous en coeur."
Carole tendait à nouveau sa croupe, le dos bien cambré, le sexe luisant et offert.
J'étais au pied de ma Maîtresse, et Thomas commençait à souffrir de sa position.
"- C'est au tour de celui-là d'être puni, pour son retard. Je n'ai plus besoin de Toi.
- Bien Maîtresse, et merci pour ce délicieux moment!"
Que réservait Maîtresse Laura pour Thomas? J'allais le découvrir en direct sur mon écran de voyeur.
Je quittai la pièce et m'installai confortablement pour voir la suite de ce que Maîtresse Laura réservait au désobéissant soumis.
Thomas était fébrile, il avait assisté à la punition de Carole. Lui non plus n'avait jamais subi de tels tourments. Son excitation était cependant visible.
Maîtresse Laura fit mine de ne même pas remarquer l'érection du soumis. Elle caressait le dos de Thomas avec la badine. La fine tige parcourait la peau de cet homme encore novice, elle épousait les courbes de ses muscles. Il frissonnait sous cet attouchement. Laura posa un pied sur le dos de sa bête. Genoux plié, dressée sur son trophée, elle ressemblait à une chasseresse ayant attrapé un humain. Son air triomphal était exacerbé par sa poitrine pointée en avant, et rendue encore plus volumineuse par le corset qu'elle portait: il était en vinyle noir, agrémenté de coutures rouges. L'arrière et l'avant étaient lacés. Les baleines situées sur les cotés semblaient comprimer la taille de cette splendide créature, élançant encore son allure. Les balconnets ourlés de rouge s'arrêtaient plus bas que les tétons de la belle. Ils se dressaient ainsi à la vue de tous. Laura portait un shorty également en vinyle, dont l'entrejambe pouvait être ouvert avec une fermeture éclair. Les coutures rouges exacerbaient la courbure des fesses de la Maîtresse.
Thomas n'avait malheureusement pour lui pas le loisir de contempler sa dominatrice. Elle enfonçait son talon entre les omoplates de sa larve, la tête tournée vers son arrière-train. Les mouvements de badine se firent plus inquisiteurs, Laura descendit jusqu'au coccyx, puis s'insinua entre les fesses de sa victime. La badine frôla la rosette de Thomas, un frisson le traversa. Il avait déjà envie de se décharger. Se masturber était pourtant hors de question, non seulement parce qu'il savait qu'il était déjà sous le coup d'une punition, mais aussi parce que dans cette position il tomberait sous la pression qu'exerçait le pied de sa Maîtresse dans son dos. La semelle de son escarpin était douce, mais le talon terriblement pointu et froid.
Thomas songea qu'Elle devait porter un de ces modèles à talons en métal. Il n'en avait jamais vu et maintenant il les subissait.
La badine continuait son investigation, se faufilant de plus en plus loin dans le sillon du soumis, jusqu'à atteindre ses bourses. Méthodiquement mais non sans perversion, Laura les caressa longuement, du bout de son sceptre de cuir. Thomas poussait des gémissements de plaisir, il essayait par tous les moyens de coincer la base de son sexe entre ses cuisses pour réussir à se masturber, comme un chien. Mais le talon de Laura le rappela vite à l'ordre.
La badine remonta lentement le long de son échine, glissa sur sa nuque. Laura avait fait volte-face, elle était désormais dans le même sens que Thomas, face au miroir.
"- Relève la tête mais garde les yeux baissés." ordonna-t-elle.
Thomas se cambra et entraperçu cette femme magnifique dans le reflet qu'offrait le miroir qui partait du sol au plafond. La badine poursuivit sa lente progression sur la joue de la proie, et vint bientôt agacer ses lèvres.
Thomas, fou d'excitation, ne se contrôlant plus, lécha l'objet. Sa langue glissa sur la tige de cuir. Il s'imaginait léchant le corset de Laura.
"- Je ne t'ai pas demandé de la lécher.
- Pardon, Maîtresse.
- J'ai entendu parler de tes talents de suceuse, tu vas pouvoir les mettre à profit. Mais avant cela, tu vas être puni pour ton retard. Toi la blonde, viens te placer derrière ce chien."
Carole se déplaça à quatre pattes jusqu'à Thomas. Elle avait la tête au niveau des fesses de celui qui était de moins en moins son client et de plus en plus une bête en rut, avide de jouissance. En effet, Thomas bandait comme un fou, et des gouttes de liquide séminal perlaient de son méat.
"- Passe ta main entre ses jambes, et attrape sa queue.
- Bien Maîtresse, répondit Carole."
Elle prit le sexe du soumis par en-dessous, son avant bras frottant délicieusement sur les bourses pendantes. Carole entama un lent va-et-vient.
"- Je ne t'ai pas demandé de branler cette petite pute, mais je vais te laisser l'exciter encore un peu. Veille à ne pas le faire jouir.
- Oui Maîtresse."
La main de la soumise atteint le gland, qu'elle cajola tendrement, son index se glissa dans la fente du méat, et récolta une goutte d'excitation. Thomas était prêt à exploser. Son souffle s'était accéléré, il haletait de plaisir et d'impatience d'être libéré. La frustration de savoir que ce moment n'allait pas arriver le faisait encore plus désirer cette jouissance. Carole parcourait sa hampe du bout des doigts. Chaque millimètre de sa peau était sensible, sa queue épaisse fourmillait de plaisir, tout le bas de son corps était baigné de chaleur. Il luttait difficilement contre ses plus bas instincts.
"- Crache sur son cul!"
Cet ordre surprit les deux soumis, mais Carole s'exécuta. Elle aussi était pétrie de désir, sa vulve gonflée et la cyprine qui s'en échappait trahissaient son état. Elle récolta tant bien que mal un peu de salive, qu'elle cracha sur l'oeillet de son partenaire. Thomas sursauta, à la fois troublé et étonné par la douce chaleur qui envahit son anus. Il n'avait jamais connu de telle sensation.
La salive de Carole glissa lentement dans la raie du soumis, jusqu'à atteindre ses bourses. La caresse était involontaire mais délicieuse. Thomas émit un râle de satisfaction. La soumise, excitée par le spectacle qu'il lui offrait, glissa sa main libre entre ses cuisses. Elle écarta ses lèvres et entreprit de caresser son petit bouton gorgé de plaisir.
"- Je t'interdis de te caresser, chienne! Vas-y, branle-le doucement, caresse-lui ses couilles de pervers. Utilise tes deux mains!"
Laura s'était retournée, elle assistait au spectacle de sa nouvelle recrue branlant son soumis avec application. Elle glissa à nouveau la badine sur
le dos de Thomas. Elle s'attarda ensuite sur son petit trou.
"- Crache encore, vise mieux cette-fois!
- Oui Maîtresse."
Tout en lui malaxant les boules, Carole déposa un filet de salive dans la raie des fesses de son compagnon. Laura étala le liquide avec sa badine, elle en enduit l'anus du soumis.
"- Tu vois? Cette petite salope apprécie, on voit sa rondelle qui se contracte, viens mettre un coup de langue par là, et continue de lui caresser la bite, je veux qu'il bouillonne."
La bouche de Carole se faufila entre la badine et la rosette du soumis. Elle la pourlécha, s'attarda à l'entrée du petit trou, puis y glissa quelques millimètres de langue. Le soumis exultait, il n'allait pas tarder à jouir, il sentait une douce chaleur envahir la base de ses testicules, c'était la langue de Carole, et ses mains expertes qui le caressaient avec application. Le talon de sa Maîtresse planté dans le dos, Thomas ne pouvait se redresser. Lorsqu'il sentit la jouissance arriver, Laura, du bout de la badine, éloigna les mains de sa soumise. Carole était frustrée de ne pas pouvoir le faire exploser. Il en tremblait pourtant d'envie!
Thomas gémissait de déception, il implorait Laura de le libérer, de le laisser exploser. La Maîtresse se dirigea vers la commode et échangea la badine contre un instrument qui convenait mieux à la suite qu'elle imaginait pour punir son soumis.
Laura se retourna, une fine cravache à la main. L'extremité de la tige était formée d'un carré de cuir de la taille d'une carte à jouer. Et je savais que Maîtresse Laura savait abattre son atout au bon moment!
De sa démarche féline, elle rejoint les deux soumis, et enjamba la tête de Thomas. De cette façon ses genoux se trouvaient contre les épaules du soumis. Ce dernier ne pouvait alors ignorer la vue imprenable qu'il avait sur les chaussures de sa Maîtresse: elle portait une paire d'escarpins à bride, une pièce de cuir arrondie recouvrait les doigts de pied de la déesse, une autre maintenait son talon, si bien que Thomas pouvait se délecter de la cambrure du pied, épousant avec sensualité la semelle rouge des escarpins. Une lanière de cuir, enserrant la cheville au dessus de la malléole, mettait encore plus en valeur la finesse des jambes de Laura. Cette bride était fermée d'une boucle couleur d'argent. C'est le talon qui attira surtout le regard du soumis: également couleur d'argent, la fine tige pointue mesurait une dizaine de centimètres. Laura était perchée sur ces merveilles sans présenter la moindre difficulté à marcher...ni à enfoncer ses talons dans la peau de son soumis.
"- Tu vas maintenant entendre ta sentence! Tu es conscient d'avoir désobéi à ta Maîtresse?
- Oui Maîtresse, moi aussi je suis à blâmer, je mérite...
-...c'est moi qui décide de ce que tu mérites ou non! Ton retard est une insulte, as-tu une excuse valable? demanda Laura.
- Non, Maîtresse, mais c'est Carole qui...
- Ne dénonce jamais un autre soumis. Surtout lorsqu'il s'agit de ta compagne!
- Mais ce n'est pas ma...
- Pardon? s'interloqua Laura."
Trop tard, voulant se justifier, Thomas s'était trahi.
"- Carole n'est pas ma femme, Maîtresse.
- J'avais pourtant été claire la semaine dernière. Je suis déçue par ta fourberie. Et en colère. Mon châtiment va être terrible. Je vais commencer par te punir pour ton retard."
Laura fit glisser la cravache le long de sa jambe, jusqu'à arriver à hauteur du visage du soumis. Il était angoissé et excité à la vue de l'instrument. Thomas adorait le cuir mais redoutait l'emploi que sa Maîtresse allait en faire.
"- Toi la chienne, reviens par ici. Accroupis-toi, les fesses posées sur tes talons."
Laura indiqua à Carole sa nouvelle place. Elle s'accroupit perpendiculairement à Thomas, au niveau de ses genoux, sur son flanc gauche.
"- Est-ce-que ce pervers bande toujours?
- Oui Maîtresse, mais moins que tout à l'heure.
- Bien, sa queue sera parfaite. Prends-la dans ta main gauche, mais surtout ne le branle pas.
- Oui Maîtresse.
- Maintenant rabats son sexe entre ses cuisses, jusqu'à ce que tu puisses voir ses testicules dépasser sous sa croupe."
Avec délicatesse, Carole replia le sexe presque dur en arrière, prenant garde à faire passer les couilles derrière les cuisses de Thomas, comme lui avait demandé sa Maîtresse. Elles formaient désormais un paquet compact.
Le soumis était troublé par l'attouchement, ses propres fesses caressées par ses bourses. En revanche la courbure de son sexe était douloureuse, et le
sang ne semblait plus circuler entre sa verge et le reste de son corps.
"- Serre les jambes, je veux que tes genoux se touchent." ordonna Laura. Ses sensuels talons quittèrent la vue du soumis pour venir rejoindre ses pieds. Placée derrière lui, sa Maîtresse pouvait admirer la position de soumission de sa larve. Les couilles semblaient gonflées de désir et comprimées par leur inconfortable position.
"- Place deux doigts entre ses bourses et ses cuisses. Je veux que tu les enserres fermement pour me les présenter.
- Bien Maîtresse."
Carole était excitée et curieuse, elle adorait manipuler le soumis sous les ordres de Laura. Elle entoura la base des bourses de son index et de son pouce, et les étira encore en arrière. Le paquet gonflé et rougi reposait dans la main de la soumise. Le sexe de Thomas était coincé entre ses propres cuisses, gonflé de désir. La vue de ces couilles joufflues et la présence de Laura à ses cotés échauffaient Carole. Elle prenait goût à ces expériences, dont le cobaye n'était autre qu'un homme soumis.
"- C'est parfait, tu vas maintenant compter, compris?
- Oui Maîtresse, acquiesça Thomas.
- À chaque chiffre tu ajouteras la formule: "Je vous demande pardon pour mon retard Maîtresse, je ne suis qu'une chienne désobéissante".
- Bien Maîtresse.
- Et à chaque erreur j'ajouterai deux coups.
- Oui...Maîtresse.
- Toi aussi tu as remarqué qu'il a les attributs d'une chienne? demanda-t-elle à Carole.
- Non Maîtresse, s'interrogea la soumise.
- Regarde son entrejambe...
- En effet, on dirait qu'il a une petite chatte, on ne voit que des poils."
Une complicité féminine s'installa quelques secondes. Thomas se sentait humilié, il baissa les yeux et vit également son entrejambe dénué de tout attribut masculin.
Les deux femmes se moquèrent quelques instants de leur chienne, puis la Maîtresse reprit son sérieux pour exécuter la sentence.
Laura posa le rectangle de cuir sur les testicules de Thomas, qui frissonna au contact de l'objet. Elle prit quelques centimètres d'élan, et la cravache s'abattit d'un coup sec sur la peau tendue des bourses. Le claquement fut suivi d'un cri de surprise du soumis.
"- Il me semblait t'avoir demandé de compter.
- Pardonnez-moi...un, je vous demande pardon pour mon retard, je ne suis qu'une chienne désobéissante.
- C'était trop demandé de m'appeler Maîtresse?
- Pardon, Maîtresse...
- Répète correctement la phrase pendant que je te rajoute deux coups. Mais ce ne seront pas des coups de cravache."
Laura leva légèrement sa jambe droite, et posa la semelle de son escarpin sur les bourses encore rougies par la cravache. Elle releva la pointe du pied et plaça son talon entre les deux testicules.
La Maîtresse enfonça une première fois son talon dans le scrotum du soumis, avec lenteur. Passée la surprise, Thomas comprit qu'il ne lui restait que le temps d'un coup de talon pour réciter sa phrase, ce qu'il fit sans erreur.
Au second coup, la Maîtresse vit le dos de sa victime s'arquer de douleur. Carole aussi était au premières loges. Elle était mouillée par le spectacle, mais avait presque peine pour le pauvre soumis. Elle rêvait de cajoler ces bourses meurtries, de les faire rouler dans sa bouche. Son envie de le réconforter était partagée avec celle de voir la suite de la punition.
Thomas sentait sa peau endolorie par le talon de métal, mais la douleur de ses couilles se transformait en une chaleur inconnue dans son bas-ventre.
Pas de doute, il sentait que son corps et son esprit aimaient ce traitement. Le plaisir de contenter sa Maîtresse allait bientôt s'ajouter à ce sentiment de bien-être.
"- Bien, j'espère que ça t'a appris à compter.
- Oui Maîtresse, je ne me tromperai plus."
Coupant net sa phrase, un nouveau coup de cravache enflamma les testicules de Thomas
"- Deux, je vous demande pardon pour mon retard Maîtresse, je ne suis qu'une chienne désobéissante.
- C'est bien, tu as compris."
Le troisième coup fut plus douloureux, la douceur de la main de Carole contrastait avec la morsure froide du cuir sur la peau. Le soumis récitait sa punition sans flancher, alors que les dix coups prévus par Laura s'abattaient sur les bourses maintenant enflées.
Au dernier coup, le silence prit place. La dominatrice fit un lent tour de son soumis, le bruit des talons claquant sur le sol. Elle regardait le corps parfait de Carole, et son application à retenir les bourses comme il fallait. Elle la désirait. Cette soumise était magnifique.
"- Lèche-lui maintenant les testicules, mais pas n'importe comment...
- Comment, Maîtresse?
- Je veux que tu les lèches comme s'il s'agissait de mon sexe. Image le clitoris de ta Maîtresse et ses lèvres à la place des ridicules bourses que tu as en main. Place-toi derrière lui.
- Bien, Maîtresse."
Carole se glissa derrière Thomas, toujours en retenant ses testicules. Laura, pour mieux profiter du spectacle, s'assit sur le dos du soumis, face à la petite lécheuse.
Thomas sentait le vinyle du shorty sur son dos, et le poids de sa Maîtresse peser sur ses muscles.
Carole ferma les yeux, et déposa un baiser entre les deux couilles du soumis. Puis elle lapa de bas en haut les deux globes échauffés par la douleur. Thomas frissona de plaisir, la salive de Carole semblait bien fraiche, c'était le traitement rêvé pour atténuer la brûlure de la cravache.
Elle léchait consciencieusement la peau tendue, s'imaginant tant bien que mal léchant celle de sa Maîtresse. Cette dernière regardait avec plaisir la soumise s'affairer à sa tache. Sa langue décrivait de petites cercles, qu'elle alternait avec des suçotements. Carole caressait les boule de sa main libre, tout en les couvrant de baisers. Elle simula même le clitoris de Laura en pinçant un morceau de peau, qu'elle aspira avidement. La Maîtresse, dont le désir n'avait cessé de s'accroître, bascula son bassin en arrière, et offrit son entrejambe à Carole. Elle ouvrit elle-même la fermeture éclair de son shorty, et commença à se caresser. Sa main agrippa alors les cheveux de Carole, qu'elle attira contre son sexe.
Le doux contact de la bouche électrisa Laura. Carole glissa sa langue dans la fente humide, tout en caressant les couilles de Thomas. Elle sentait que ses deux partenaires étaient prêts à exploser. Elle concentra ses efforts sur sa Maîtresse, en alternant les coups de langue entre les lèvres gonflées et le bouton rougi d'excitation.
"- Suce-moi, petite salope, aspire bien ma mouille!" s'écria la belle dominatrice.
Carole s'exécuta, elle engloutit le clitoris palpitant, tout en faisant glisser sa langue où elle trouvait de la cyprine. Ce n'était pas le premier cunnilingus qu'elle faisait, mais c'était la première fois que sa partenaire était sur le dos d'un homme soumis.
La traction sur ses cheveux se fit plus intense, Carole glissait sa langue au plus profond de sa Maîtresse, qui ondulait de plaisir. Thomas gémissait d'envie et de frustration de ne pouvoir qu'entrevoir la scène dans le miroir.
La soumise aspira goulument le clitoris de Laura, roula sa langue autour du petit bouton, qui palpita, annonçant l'explosion de sa Maîtresse. Elle hurla de plaisir, soulevant ses jambes du sol. Thomas vit les talons pointés vers le ciel. Laura mouillait abondamment sur le dos du soumis. Il ressentait dans son dos les spasmes de son orgasme. Sa Maîtresse était littéralement en train de jouir sur lui.
La respiration de Laura revint progressivement à la normale, et les palpitations de son sexe ralentirent. Elle reposa ses pieds au sol, caressa la crinière de Carole, comme pour la remercier de cet orgasme.
"- Tu te débrouilles plutôt bien! Mais maintenant j'aimerais bien savoir qui es-tu, si tu n'es pas l'épouse de l'autre chien? Sa punition à venir en dépend..."
Carole se tourna vers Thomas, inquiète.
"- Je t'interdis de le regarder. Qui es-tu par rapport à cette larve?
- Je...je l'ai rencontré il y a peu, hésita Carole.
- Où?
- Dans un bar...
- Un bar à hôtesses? demanda Laura.
- Non mais...oui, je suis une escort-girl.
- Tu es en train de me dire que ce chien, au lieu de nous apporter sa femme sur un plateau, a tenté de te faire passer pour elle?
- Je ne savais pas qu'il devait emmener sa femme..."
Thomas tremblait. Il avait oublié qu'il s'était trahi, et il ne pensait pas que l'aveu de Carole allait arranger les choses. Une seule sentence le terrifiait plus que tout: être banni du "Numéro 18".
"- Cet imbécile a cru bon d'amener à tout prix quelqu'un. C'est qu'il a vraiment besoin de venir ici."
Laura réfléchissait à voix haute.
"- Puisque tu n'es pas capable d'avouer à ta femme tes penchants, j'ai un petit cadeau qui va t'y obliger. Mais avant cela, ta punition."
Maîtresse Laura fit à nouveau signe en direction de la caméra. Je reprenais du service. J'ouvris la porte, ma Maîtresse m'attendait, entre les deux soumis. Thomas était toujours à quatre pattes, les testicules encore fourmillants des baisers de Carole et la queue toujours dressée malgré la teneur de la discussion.
Carole était accroupie, les mains posées sur les genoux, aux pieds de Maîtresse Laura. Elle me regarda entrer à quatre pattes. Je rejoins la place qui m'était désignée par la cravache, face aux deux soumis.
Ma Maîtresse me fit signe de me lever. J'étais très excité par le spectacle auquel je venais d'assister.
"- Tu bandes comme un âne, mais je suis sûr qu'on peut mieux faire. J'ai l'idée d'un petit concours en tête. Mais pour cela je dois être équipée. Comme tu es déjà accroupie, tu vas m'ôter entièrement mon shorty.
- Bien Maîtresse, obéit Carole."
Elle retira délicatement la culotte de vinyle, encore dégoulinante de mouille. Le parfum l'ennivrait, et la trace des coutures sur les fesses donnait l'illusion d'une lingerie invisible qui permettait d'avoir accès sans retenue à l'entrejambe de sa Maîtresse. Carole était à la fois excitée et en admiration devant cette femme à la classe folle et à l'assurance démoniaque.
Laura retourna à la commode, et sans hésitation quant au choix en ressortit un outil qui me faisait frissonner. Elle ne l'avait sorti que trois fois pour moi, et l'avait toujours utilisée de la même façon.
Elle enfila la culotte de cuir, en prenant soin d'insérer le gode situé à l'intérieur entre les lèvres toujours humides de son orgasme. Le gode extérieur était bien plus gros, il mesurait plus d'une vingtaine de centimètres, et le diamètre était imposant. Je dois avouer que je ne pouvais pas rivaliser avec l'engin.
La dominatrice se dressa fièrement, le sexe dressé en avant. Je me retrouvais debout, à côté d'elle, face aux deux soumis.
Carole tenta d'interroger Thomas du regard, sans succès.
"- Redresse la tête, chien! ordonna Laura."
Thomas leva les yeux et vit l'énorme gode attaché à la taille de sa dominatrice, pointé vers lui.
"- Nous allons voir qui de ta compagne et de toi est le plus doué pour les fellations. Il me semble que tu avais adoré fourrer un talon dans ta bouche. Voyons si tu es aussi adroit que ça."
Je m'approchai de Carole, la regardant dans les yeux avec un sourire, qu'elle me rendit. J'attendais le signe du départ qui allait être donné par ma Maîtresse.
Elle plaça le gland de plastique noir contre les lèvres de Thomas, qui rechignait à ouvrir la bouche. J'en fis autant contre les lèvres ourlées de Carole. Elle les entrouvrit légèrement. Elles étaient chaudes et douces.
"- Allons-y, voyons qui fait les gorges profondes les plus longues.
- Bien Maîtresse, répondis-je d'un ton motivé."
Carole ouvrit la bouche de façon à placer ses lèvres sur le tour de ma queue. Je commençais à glisser dans ce doux fourreau.
Thomas, qui gémissait, refusait d'ouvrir la bouche. Laura plaça un judicieux coup de cravache sur le téton du soumis accroupi, il poussa un cri de surprise.
"- Ouvre ta bouche ou je te mets le gode ailleurs...Si ça peut t'aider, imagine que tu vas suçer un de mes talons."
Thomas ferma les yeux et entrouvrit la bouche. Laura posa ses mains sur la tête de sa victime et avança lentement le gode brillant. Étonnamment, et grâce aux conseils de sa Maîtresse, il ne trouva pas cette sensation désagréable. Le plastique glissait le long de sa langue. C'était la première fois qu'un tel objet le pénétrait.
Carole, de son côté, montrait plus d'entrain avec moi. Elle ouvrait en grand la bouche, s'amusait à pourlécher mon gland à mesure qu'il rentrait, elle posa même ses mains sur mes fesses. Encouragé par la belle soumise, j'enfonçais plus profondément ma queue. Sa bouche était délicieuse.
"-Tiens, prends exemple sur elle, conseilla Maîtresse Laura."
Thomas ouvrit les yeux et regarda le spectacle sur sa gauche. Carole me suçait comme une diablesse, elle aspirait ma verge avec envie en me regardant dans les yeux. Le soumis décida de la copier en regardant sa Maîtresse, et en léchant le gode. Laura lui caressa les cheveux de satisfaction. Il avait enfin compris qu'il était là pour son plaisir à elle, et non le sien.
Pris dans l'excitation du jeu, Thomas lança un regard complice et enfonça plus profondément encore le sexe factice dans sa bouche. Carole en fit de même. Ils étaient pour le moment à égalité. Je n'avais encore fait aucun va-et-vient entre les lèvres de ma salope, et pourtant j'étais déjà sur le point d'exploser.
Les glands arrivèrent bientôt en butée dans les deux bouches. L'expérience de Carole paya en premier, elle déglutit en tirant la langue, ferma les yeux, desquels une larme ne tarda pas à couler. J'enfonçai encore mon sexe dans son gosier, sentit une légère résistance, et entrait enfin dans sa gorge. La chaleur était douce et ma queue était enserrée, de plus elle baignait dans la salive produite par ma fellatrice.
Thomas eut plus de mal à faire passer le faux sexe d'homme de Laura. Elle dut s'y reprendre à plusieurs fois avant de pénétrer sa gorge. Thomas toussait et se retenait de vomir, des larmes coulaient également de ses yeux. Cette punition était humiliante et éprouvante, mais le fait de la partager avec Carole qui s'en sortait de la façon la plus excitante qui soit rendait la chose presque agréable.
"- Alors sale pute, on adore sucer des talons hauts mais on peine à avaler une bite? Allez, maintenant tu vas savoir ce que ta femme va ressentir la semaine prochaine."
Laura repoussa la tête de Thomas en le tenant par les cheveux, puis retourna avec force dans sa bouche. Il manqua de s'étouffer, mais cette fois le gland pénétra du premier coup sa gorge.
J'en fis autant avec Carole, qui semblait comblée par ma verge, affichant un large sourire quand je l'avais retirée, pour mieux l'accueillir à mon retour dans sa bouche.
Maîtresse Laura voyait que j'étais prêt à exploser. Elle annonça le résultat du concours tout en pilonnant la bouche du soumis.
"- Tu vois, je pense qu'elle t'a avalé jusqu'à la garde, alors que lui n'a pas été foutu d'en engloutir la moitié. Ce devrait être à lui d'avaler ton foutre.
- Oui Maîtresse, répondis-je déçu, ralentissant mes va-et-vient entre les lèvres de Carole."
Thomas repoussa les assauts de sa Maîtresse, il ne voulait clairement pas que je jouisse dans sa bouche.
"- Tu ne te sens pas prêt? Alors regarde comment se débrouille ta voisine. Vas-y, tu peux cracher!"
J'exultai.
"- Merci Maîtresse! Sur son visage ou dans la bouche?
- Sur sa langue, et je veux qu'on puisse tout voir. Tu sais faire ça toi, la professionnelle?
- Oh oui Maîtresse, merci, répondit Carole, profitant du court répit que je lui laissais."
Elle était vraiment très excitée par la situation. Thomas se remettait à peine de sa fellation forcée, que Carole se jeta littéralement sur ma queue. Elle ouvrait en grand la bouche, me laissant lui asséner de grands coups de boutoir. Elle se caressa pendant que je lui baisais le fond de la gorge, laissant entendre les gargarismes de sa salive abondante.
Je ne tardai pas à exploser...
"- Ouvre ta bouche, tire la langue..."
Les yeux verts me contemplaient, la belle langue rose m'était offerte. Je me retirai de la bouche, me branlai devant cette chienne assoiffée, et dans un long râle, j'expulsai le premier jet de liquide chaud. Il surprit Carole par sa puissance, et se répandit sur sa langue. Le second jet explosa moins loin et laissa quelques gouttes de foutre sur sa lèvre inférieure. Je finis d'éjaculer dans cette jolie bouche, les jambes flageolantes, sous les encouragements de ma Maîtresse.
Carole resta quelques secondes accroupie, la bouche ouverte, me fixant droit dans les yeux. Thomas était excité comme un animal par le spectacle, il ne pensait qu'à être le suivant à jouir dans cette bouche qu'il avait pourtant déjà possédée.
La jolie soumise ferma les yeux et la bouche, et engloutit mon foutre d'un seul coup.
Laura la félicita d'une tape sur le dessus de la chevelure blonde, comme on félicite une chienne.
J'étais vidé et heureux, et quittai prestement la pièce à quatre pattes comme me l'ordonna Laura.
"- Maintenant je vais te faire un petit cadeau, que tu pourras ou non montrer à ton épouse."
Laura retourna une dernière fois à la commode.
A suivre…
les contributions des copines 8
Voici une paire d’escarpins que j’aime beaucoup et qui nous est présentée pour l’occasion par Camille. Outre l’élégance de ces escarpins à bout ouvert, vous ne resterez sans doute pas insensible aux jolies jambes de notre modèle !
Merci Camille pour ta jolie contribution !
sandales noires
Voici pour cette série des sandales qui ne brillent pas par leur grande originalité quant à leur forme, mais je les aime bien. J'aime particulièrement le croisement des lanières sur les orteils ainsi que le talon aspect liège qui donne un petit plus à ce modèle. J'espère que vous aimerez
Lire les commentaires textes
Bonjour Romain et merci pour ton gentil message!
J'avoue particulièrement apprécier tes mules que tu portes comme un gant :)
Continue à faire d'aussi belles photos :)
Bonsoir Rémy, merci d'aimer toujours autant mes petons hi hi!
toujours hyper sexy tes petons, j'adore!!!!!
Bonsoir Louis, je n'avais spécialement pensé à ça lors de mon achat hi hi...en tout cas je vois avec plaisir que ce modèle ne te laisse pas indifférent, grand merci à toi!
Du métal. Ce contacte avec la beau lors d'une séance de léchage doit être assez spécial, original même. J'aimerai bien y gouter avec plésir ;-). Toujours des chaussures de bon gout!
Bonjour Céré et Domi, il y a indéniablement un côté rock dans ce modèle. Mais je vais vous faire une petite confidence, comme ça juste entre nous, j'adore le Rock donc rien d'anormal à cet achat hi hi... Je suis ravie que vous appréciez l'originalité du modèle et les différents styles que je propose sur le blog. C'est toujours un plaisir de lire vos coms!
merci pour votre gentillesse, je vous fais moi aussi de gros bisous les amies
Bonjour Patrick, tu sais dans la vie on a jamais tout vu hi hi... je suis ravie en tout cas que tu apprécies ce modèle, merci ton gentil message!
Des mules rock ! Y a les clous, le talon en métal et la boucle par dessus le pied, ça sonne un chouïa rock, non ? Plus la jolie bague de pied, waow ! Et quand on dit "rock" ce n'est en aucun cas une critique, crois le bien car la zique qui rocke et qui roule, on adore ! Des mules fort sympas et originales et toujours ces superbes bien si beaux, joliment vernis d'un rouge plus un peu plus sombre. Bravo ! Belle variation des shoes et des articles chez toi, c'est un régal de venir. Mille gros bisous tout tendres, chère amie !
j'en ai marre, t'es ennervante, on crois toujours avoir atteind le summum et vlan tu en remet une couche, genre tu pensais avoir tout vu, et bien tiens prend sa !!!
je t'adore