fandechaussures
escarpins noirs à bouts ouverts
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les contributions des copines 9
Cette semaine je voulais faire un peu de publicité pour un site que j’aime bien. Ce site est tenu par un couple exhibitionniste et fétichiste dont le thème de prédilection est les pieds chaussés. Vous trouverez donc des photos de hauts-talons (mules,sandales,bottes,escarpins) mais aussi d'autres chaussures moins courantes sur le web. Je vous invite donc à aller leur rendre visite sur http://www.bellenanou.fr/!
"LA MAÎTRESSE DE THOMAS" Chapitre V
Pour les fidèles du blog, voici la suite des aventures de Thomas. Lors du précédent chapitre, nous avons pu voir que Linda trahie et ulcérée par les infidélités de son mari, s’était finalement résolue à s’abandonner aux mains expertes de Laura. La belle ayant le projet d’en faire une parfaite Maîtresse, Linda se laissa initier à des jeux jusqu’à lors étrangers pour elle. Mais y prendra t-elle définitivement goût, le chapitre V nous le dira !
Bonne lecture et encore un grand merci à notre auteur !
Quand Linda entra dans la pièce où Thomas l'attendait, elle fut accueillie par un large sourire béat de son mari. Toujours nu, il était affalé sur sa chaise, le sexe à la main.
Deux options s'offraient alors à la Maîtresse en apprentissage de son rôle: soit elle se comportait comme tel, soit elle redevenait cette femme douce et aimante...que Thomas avait trompée. Linda se sentait à un carrefour de sa vie de couple.
"- C'est comme ça que tu accueilles ta Maîtresse? Redresse-toi, assieds-toi convenablement, et pose tes mains à plat sur tes cuisses", ordonna Linda, d'une voix aussi neutre que possible.
Surpris et amusé, Thomas ne put s'empêcher de retenir un sourire de satisfaction. Il prit cependant la position que lui avait imposée sa femme.
"- Je ne sais pas ce que tu trouves amusant. Baisse les yeux et écoute ce que j'ai à te dire. Ce soir j'ai appris beaucoup de choses, que je compte bien expérimenter sur toi. En attendant de parfaire mon apprentissage ici, tu seras mon soumis pour la semaine. À partir de maintenant et jusqu'à jeudi prochain, tu m'appelleras Maîtresse. Je suis sûre que tu en as l'habitude. Maintenant tu vas te rhabiller, et nous conduire à l'hôtel le plus proche.
- Bien...Maîtresse."
Linda n'avait pas préparé son petit discours, mais elle en était plutôt satisfaite. La réponse de Thomas la confortait dans son impression. Elle était émue que son homme l'appelle "Maîtresse", mais également jalouse qu'il eut appelé d'autres femmes par le même nom. Elle avait du retard à rattraper sur elles, et comptait bien profiter de sa vie de couple pour faire de Thomas...son esclave à plein temps. Elle savait que cela allait être progressif, et qu'elle allait devoir recourir au savoir de Laura pour combler ses lacunes.
Son nouveau soumis se leva, et enfila sans un mot ses vêtements. Il était très excité par la tournure que prenaient les événements, et ne pouvait se débarrasser de l'érection qu'il avait depuis plus d'une heure en observant les images diffusées par les caméras du Numéro 18. Il n'avait toujours pas été libéré de son entrave, ce qui ne facilitait pas le retour à la normale de son sexe. L'anneau, estampillé "Puni", devenait douloureux.
La main de Linda se glissa dans celle de son soumis, et tous deux gagnèrent la voiture de location. Une fois assis, la jeune femme posa sa main sur celle de son époux, prêt à démarrer.
"- Ne partons pas tout de suite. Je vois que tu bandes mon Chéri. Cela doit être atroce pour toi. Mais te masturber comme tu le faisais ne t'aidera pas, à mon avis. Dorénavant je serai la seule de nous deux à pouvoir toucher ton sexe, à moins que je ne t'ordonne le contraire.
- D'accord Chérie!
- Appelle-moi Maîtresse! Je pensais que tu étais mieux éduqué que cela! Ouvre ta braguette, je vais te donner un petit rappel à l'ordre."
La curiosité piquée par la demande de sa femme, le soumis s'exécuta. La jeune Maîtresse éteint le plafonnier de la voiture. Tous deux plongés dans le noir, les époux se voyaient à peine. Il était tard et la rue était plongée dans l'obscurité.
La verge de Thomas semblait tendue vers son propriétaire. Linda la redressa, pointant le pénis gonflé vers le plafond. Assis dans son siège conducteur, Thomas était attaché," presque prisonnier" pensa-t-il. Sa Maîtresse, assise sur le siège voisin, distinguait le sexe de son soumis. Du bout des doigts, elle abattit une claque sur le gland. Le conducteur eut un sursaut. Une seconde tape, plus appuyée, fut bientôt ajoutée au compte, et bientôt ce furent une douzaine de petits coups qui avaient frappé la queue de Thomas. Il était excité comme jamais. Linda lui administrait sa première punition.
"- J'espère que dorénavant l'idée de te branler ne te viendra plus à l'esprit. Maintenant range tes outils et conduis ta Maîtresse dans un hôtel pour la nuit."
Thomas replaça son sexe douloureux dans son boxer. Les deux amants trouvèrent sans peine un établissement sans prétention mais propre.
Une fois entrés dans la chambre, Linda ordonna à son mari de se déshabiller, puis de se rendre dans la salle d'eau.
"- Tu es souillé d'excitation, tu vas maintenant te laver.
- Bien Maîtresse."
Thomas bandait toujours, son sexe semblait réclamer une délivrance indispensable. Le soumis se faufila dans la douche. Le jet d'eau devint rapidement chaud.
"- Ouvre le rideau, je veux vérifier que tu ne te caresses pas pour le plaisir pendant ta toilette. Prends le savon, et commence par bien nettoyer ta bite. Elle est pleine de liquide séminal. Je ne dormirai pas avec un homme sale."
Linda attisait toute seule le feu qui brûlait en elle. Son tout nouveau pouvoir la grisait. Les mots qu'elle employait l'électrisaient. Elle aurait bien profité de Thomas pour la pénétrer, elle rêvait de sa queue qu'il frottait sous ses yeux pour se laver. Voir son mari attentif à ses moindres demandes la faisait mouiller, mais elle estimait avoir bien joui pour la soirée, et surtout, l'apprentie Maîtresse avait peur de se laisser emporter par le désir. Elle ne voulait pas se risquer à faire jouir son soumis. C'était sans doute son état d'excitation et son besoin d'exploser qui faisaient de Thomas l'homme docile qu'elle avait sous les yeux. Le savon glissait sur la peau tendue de muscles du jeune soumis. Elle le trouvait terriblement séduisant et fort...mais tellement vulnérable, face à la domination de sa propre femme.
Quand elle le jugea propre, elle lui ordonna de se mettre sous les draps. Lentement, elle s'effeuilla à son tour, faisant mine d'être seule, mais ne manquant pas de vérifier que son mari la regardait bien. À son tour, Linda prit une douche. Elle était bouillonnante de désir, et se sentait presque frustrée de ne pouvoir profiter de son homme. Elle s'imaginait se faisant prendre sous la douche par son Thomas. Son sexe long et dur la posséderait, ses mains pétriraient son opulente poitrine..."Un peu de tenue" pensa-t-elle," demain j'aurai tout le loisir de jouir de mon mari. Pour ce soir, posons des barrières".
Lorsque Linda rejoint son époux dans le lit, elle était troublée et émue. Devait-elle lui faire part de son envie d'être prise? Après un court temps de réflexion, elle arriva à la conclusion qu'elle devait se montrer forte pour cette premier soirée.
Les deux époux s'endormirent, chacun excité par la situation nouvelle. Le weekend qui arrivait promettait d'être orgasmique!
La douce main de Linda glissait sur la peau de Thomas. Elle le regardait dormir depuis une dizaine de minutes. "Qu'il est beau, mon soumis" songea-t-elle. Ses doigts s'attardaient sur la courbure des épaules, puis dans la chevelure de l'homme endormi. Sa main descendit le long de l'échine, jusqu'à atteindre les fesses. Elle en cajola une, puis l'autre. Elle passa la taille pour rejoindre les abdominaux inférieurs. La Maîtresse novice jouait avec la toison de son mâle. Il eut un sursaut, mais dormait toujours, estima-t-elle. Sa main descendit encore, et c'est avec surprise qu'elle découvrit le sexe dressé. Elle l'empoigna, et entama de lents va-et-vients. Linda était déjà moite d'excitation. Thomas fut bientôt réveillé par les caresses de sa Maîtresse.
"- Ne bouge pas, je te prépare pour la journée. Je ne voudrais pas que tu partes au travail sans un petit souvenir. Ce soir quand tu rentres, je voudrais que tu sois exactement dans le même état que maintenant.
- Bonjour...Mmmmh...Maîtresse."
Thomas avait cet air endormi que sa femme aimait tant. Les yeux mi-clos, la crinière en bataille, il avait ce charme sauvage et cette vulnérabilité qu'ont les lionceaux. Linda le trouvait magnifique. Elle le désirait. Elle se mît à califourchon sur son soumis, et d'une main glissa son sexe raide entre ses lèvres trempées. Sans la moindre résistance, le gland s'enfonça dans la grotte humide de la belle avocate. Les mains prenant appui sur le torse de son félin, la belle avocate chevauchait son soumis. Il posa ses mains sur les fesses de sa partenaire. Elle les retira, puis enserra le cou du soumis d'une main:
"- Ne t'avise plus de me toucher. Et encore moins de jouir. On baise pour MON plaisir. Tu n'es qu'un pieu.
- Bien Maîtresse."
Thomas comprit que ce n'était pas le moment de s'abandonner, et ferma les yeux pour mieux se concentrer à ne pas jouir.
"Regarde-moi dans les yeux!", ordonna la jolie brune. La verge allait et venait en elle au rythme de son bassin. Son clitoris frottait le bas-ventre du soumis, ses mains s'emparaient violemment des pectoraux offerts, ses ongles s'enfoncèrent dans la chair. Les yeux de son homme plongés dans les siens, Linda haletait de plaisir. Elle s'abandonna, jeta sa tête en arrière, offrant la vue de ses seins lourds et fermes à son esclave. Elle poussa un premier râle, et explosa dans dxw un orgasme d'un genre nouveau pour elle. Son mari l'avait écoutée, il n'ondulait pas, s'efforçant de ne pas avoir de plaisir.
Pantelante de plaisir, Linda posa sa tête sur le tordre velu. Elle l'aimait plus que tout. Et plus différemment que jamais. Les choses allaient continuer à changer. Elle rêvait maintenant à une seconde sexualité pour eux deux. Ce serait leur secret, leur monde.
Sans un mot, elle déposa un baiser dans le cou de Thomas, et quitta le lit pour prendre une douche dans la salle d'eau voisine. Lorsqu'elle retourna, fraîche, dans la chambre, elle enfila sa petite robe, ses sandales.
"- Va te laver. Nous prendrons le petit déjeuner ensemble. Ensuite nous irons chacun au boulot. Je pense que demain une petite séance de shopping s'impose, je n'ai rien de décent à me mettre pour jeudi prochain.
- D'accord, à tout de suite."
Main dans la main, les deux amants se quittèrent à l'aéroport, l'un prenant un vol vers l'ouest comme stewart, l'autre retournant dans leur ville pour travailler.
Ce soir ils allaient se retrouver, chez eux. Cette perspective enchantait Thomas, qui allait découvrir sa vie avec sa Maîtresse. Linda était fébrile, elle ne savait pas quelle était l'attitude à adopter pour ménager sa vie d'épouse et sa vie de Dominatrice. Elle comptait bien mettre cette journée de "travail" à profit pour élargir sur internet ses maigres connaissances du sujet. Elle désirait plus que jamais s'investir dans cette aventure.
****
Thomas atterrit sur les coups de 21 heures. Le temps de rejoindre la maison, il était 21h40 quand il arriva dans le parking souterrain de son immeuble et réalisa que Linda voulait le retrouver "dans le même état que ce matin". Il resta dans la voiture et décida de se masturber. C'était presque à contrecoeur, car ses testicules étaient toujours douloureux, l'anneau "Puni" lui enserrant la base de la hampe. Cela faisait bientôt plus d'une semaine que Thomas n'avait pas joui. Il repensait à la veille, à Linda. Son sexe ne tarda pas à se raidir. La tentation fut grande pour lui d'accélérer et de jouir là, dans sa voiture. Il serait enfin délivré. Cela n'allait pas être long.
Il fut surpris par le claquement de talons aiguille qui résonna dans le parking. Quelqu'un passait, une femme. Précipitamment, Thomas referma son pantalon. Il savait qu'être surpris en train de se branler dans sa voiture était sans doute le meilleur moyen de revoir sa femme...en cellule. Il rassembla ses affaires, et gagna l'ascenseur qui menait aux appartements. Une femme, grande, la cinquantaine, le rejoint peu avant la fermeture des portes. Elle portait des escarpins vernis, un sac à mains de cuir noir. Thomas n'était pas vraiment à l'aise dans son uniforme de la compagnie aérienne.
La belle inconnue s'en amusa.
"- Bonsoir, vous êtes pilote?
- Non, je suis steward, Madame."
Elle détailla du regard ce jeune homme qu'elle jugea plutôt bien fait. La bosse que formait son pantalon à hauteur de la braguette était sans équivoque. Elle sentait que Thomas n'était pas du genre à prendre les devants. Elle voulu profiter de la situation, après tout, elle était là pour s'amuser!
"- Et steward c'est un métier...bandant? demanda-t-elle avec un sourire mutin.
- Je...pardon?"
Le jeune homme était interloqué.
"- J'ai surpris votre manège dans la voiture. Je repassais à la mienne pour chercher mon sac, quand je vous ai vus vous rhabiller. Je me trompe?
- Euh...non, j'enfilais mon uniforme, je me changeais...
- Pour rentrer chez vous? C'est votre femme qui vous demande de porter ces vêtements?
- Non mais..."
Thomas perdait pied.
"- Ne vous inquiétez pas, je ne raconterai pas à tout l'immeuble que vous vous masturbez dans le parking avant de rentrer chez vous...
- C'est bien gentil à vous, répondit le jeune homme, plus qu'embarrassé par la situation.
- Mais de rien."
Sur ces mots, la quinquagénaire, arrêta l'ascenseur. Thomas fut surpris, lui qui pensait en avoir fini de cette discussion terriblement gênante.
"- Vous voulez un peu d'inspiration pour vos prochains plaisirs solitaires? demanda la jolie blonde.
- Que voulez-vous dire? hésita, hébété, le steward."
La grande blonde portait un manteau de fourrure. Elle en écarta lentement les pans, laissant entrevoir d'abord sa poitrine généreuse. Elle ne semblait pas des plus fermes, mais la guêpière qui l'emprisonnait la faisait pigeonner, et semblait projeter les globes de chair en direction de quiconque les regarderait. En l'occurrence, il s'agissait de Thomas.
Il se délectait du spectacle, cette femme avait un corps splendide. Elle poursuivit son effeuillage express en écartant encore son manteau, laissant briller la peau pailletée de ses cuisses sous les yeux du steward. Son sexe était à peine voilé d'un string noir très transparent. La vue de la toison finement taillée de cette belle cougar décrocha la mâchoire du jeune homme. Le tableau était trop beau pour lui, et se terminait en apothéose. Elle portait une paire de bas noirs autofixants, dont la large jarretière de dentelle magnifiait la finesse et le galbe des jambes. Les talons qu'elle portait, d'une dizaine de centimètres de hauteur, complétaient sa tenue de charme.
"- Je suis la première exhibitionniste que vous rencontrez, Monsieur le steward?
- Je crois bien que oui, Madame...
- Alors profitez bien de la vue! J'ai un peu de temps, vous aimeriez jouir ici en me regardant?
- Ici? Maintenant?
- Oui, il est bientôt 22 heures, personne n'a besoin de l'ascenseur!"
La jolie blonde plongea une main dans son manteau et en sortit un préservatif.
"- Voyez, je pense à tout! Vous pourrez vous répandre là-dedans. Enfilez-le!
- Vraiment Madame, je ne peux pas, je suis sur le point de rejoindre ma femme, au cinquième."
Thomas s'en voulut d'avoir dévoilé l'étage auquel il vivait. Il crevait d'envie de jouir, mais il n'avait vraiment pas besoin d'une nymphomane à ses trousses! Qu'allait penser Linda si cette créature débarquait à leur porte? Et si c'était elle qui avait envoyé cette femme pour le tester?
Thomas balaya ces pensées et tenta de trouver une échappatoire, par la fermeté. Il appuya sur le bouton de départ de l'ascenseur.
"- Madame, vous êtes ravissante, mais je ne peux pas ce soir, pas maintenant.
- Vous voulez garder votre semence pour votre femme?
- Il y a de ça!
- J'espère qu'elle vous fera le même effet que moi! Vous bandez comme un âne! Vous penserez à moi quand vous la prendrez?
- Oui...j'essaierai, promit sans conviction le steward intimidé.
- Au revoir et à bientôt! Bonne soirée!
- Au revoir...merci!"
Thomas était troublé. Les portes de l'ascenseur s'ouvrirent et le manteau de la femme se referma. Il ne l'avait jamais croisée dans l'immeuble, il s'en serait souvenu. Elle continua à monter. Lui sortit au cinquième.
Lorsqu'il ouvrit la porte de l'appartement, il découvrit un salon plongé dans la pénombre. La table basse avait disparu, remplacée par une chaise. L'ordinateur portable posé non loin affichait un économiseur d'écran simple mais qui eut son effet. Un texte blanc sur fond noir défilait: "Assieds-toi nu sur la chaise, et prépare-toi à accueillir ta Maîtresse. Si tu as des présents pour elle, pose-les sur le canapé."
Thomas s'en voulut d'être venu les mains vides. Il retira ses vêtements avec précipitation et les jeta sur le canapé. Il s'assit. Où se cachait sa femme? Il l'entendit avant de la voir. Le claquement caractéristique des talons de ses sandales surprit le soumis par derrière.
"- Ne te retourne pas! lui ordonna-t-elle fermement."
Elle lui posa un bandeau sur les yeux. Ses doigts effleurèrent les épaules de son homme aveugle. Elle prit ses deux mains et rassembla les poignets derrière le dossier de la chaise. À l'aide d'un collier en plastique, elle ligota avec fermeté sa proie.
"- Les menottes sont trop "cliché", je n'avais pas envie d'investir pour ça, pas aujourd'hui. Les magasins de bricolage regorgent d'objets bien plus abordables mais non moins intéressants. Essaie de te libérer!"
Thomas se trémoussa sur sa chaise et se rendit compte que le collier de nylon lui sciait la peau à mesure qu'il de débattait.
Satisfaite, elle lui attacha les chevilles aux pieds de la chaise.
"- Parfait, maintenant tu ne bougeras plus. Je ne veux pas que tu sois remuant pendant que je t'explique quelques petites choses. Premièrement je constate que tu es venu avec une solide érection. C'est très bien!"
Thomas sentait la présence de sa femme juste devant lui. Postée entre ses jambes, elle posa son pied sur la chaise, sous les testicules du soumis. Son sexe gorgé d'impatience effleura les orteils puis le cuir des sandales de sa Maîtresse. Thomas poussa un murmure de plaisir.
"- En revanche je constate que tu es venu sans cadeau pour ta Maîtresse. Si tu espères un jour sentir tes couilles caressées par autre chose que mes sandales, tu ferais bien de te montrer généreux.
- Oui Maîtresse, pardon d'être venu sans présents.
- Tes excuses ne servent à rien. Non seulement je ne t'ai pas autorisé à parler, mais en plus tu vas devoir te rattraper. Ce sera l'objet de la journée de demain. Comme tu le vois, j'ai paré au plus pressé en ce qui concerne les moyens de t'entraver. Mais je veux une tenue de Maîtresse digne de ce nom. Demain nous irons faire quelques achats. Tu m'as compris?
- Oui Maîtresse, j'achèterai tout ce qui Vous fera envie.
- Très bien! Je comptais te retirer ton anneau de puni, mais je n'ai ni la clef du cadenas, ni l'envie de le faire. De toutes façons tu es toujours sous le coup d'une sanction pour t'être présenté à ta Maîtresse sans offrande. Tu garderas ton fardeau jusqu'à jeudi prochain."
Linda était surprise par sa propre assurance. Elle avait pris toute la journée pour peser les mots de ces quelques phrases, et l'effet ne la déçut pas: son mari tremblait d'excitation sur la chaise. Elle était trempée par la vue qu'il lui offrait: son corps entravé, son sexe dressé fièrement, dont les bourses reposaient au bout du pied de sa Maîtresse, de sa femme. Les yeux masqués de sa victime lui permettaient d'agir en toute impunité.
Thomas entendit Linda reculer de quelques pas, puis deux claquements secs, espacés de quelques secondes.
Elle se rapprocha à nouveau de lui. Ses mains s'emparèrent du corps du jeune homme. Le contact de la nouvelle matière le fit sursauter.
"- J'ai enfilé des gants de latex, ta peau n'est pas digne d'accueillir mes mains, pas ce soir."
Thomas découvrit cette agréable sensation. Il sentit un liquide chaud glisser sur son sexe. Les mains gantées de sa Maîtresse s'en emparèrent. Les doigts glissaient avec facilité le long de la hampe. Linda l'avait enduit de lubrifiant.
Ses deux mains alternaient des va-et-vients bruyants et humides, décrochant au soumis un gémissement de plaisir.
"- Bien entendu je ne veux pas que tu jouisses. En revanche moi je ne vais pas me gêner."
Les mains de la belle avocate quittèrent le sexe prêt à exploser. Elle aussi était sur le point de s'abandonner. Savoir qu'elle surprenait son homme, qu'elle avait tout pouvoir sur lui la déboussolait. Jamais elle n'avait tant désiré jouir. Et jamais elle n'avait autant eu son mâle à disposition pour le faire. Elle aurait adoré pouvoir sentir la peau de son sexe, le bout de son gland entrer en elle. Mais la jeune dominatrice désirait s'en tenir au scénario qu'elle avait imaginé.
Elle enfila avec douceur un préservatif sur le sexe lubrifié de Thomas. Ce dernier fut surpris.
"- Ta verge non plus n'est pas digne de me toucher. Quoiqu'il arrive, tu ne jouiras pas.
- Bien Maîtresse."
Quelques gouttes de lubrifiant vinrent parfaire le pieu de latex maintenant luisant d'humidité. Satisfaite, la Maîtresse enjamba son homme. Assise face à lui, elle s'empala autant que possible sur le pieu dressé de Thomas. Il pouvait sentir le parfum de sa Belle, dont la douceur contrastait avec la froideur distante qu'elle lui imposait ce soir.
Campée sur ses talons, elle n'eut aucun mal à entamer de lents et courts va-et-vients. Seules ses mains gantées de latex prenaient appui sur les épaules du soumis. Linda s'appliquait à ce que leurs peaux ne se rencontrent pas. En conséquence, seul le gland et quelques petits centimètres de la verge étaient engloutis entre les lèvres trempées de lubrifiant et de mouille. Ce contact partiel échauffait la jolie brune. Elle s'entrevit dans le reflet de l'écran plat qui trônait dans le salon. Linda se trouvait belle. Ses pieds étaient idéalement cambrés et ses mollets fuselés par les sandales qu'elle portait, seuls traits d'union avec le sol, avec la réalité. Mais les talons la plaçaient au-dessus du statut de simple terrienne. Grâce à eux elle était une déesse. Ses cuisses musclées, son ventre plat, sa chevelure douce et sauvage l'excitaient. La vue de son corps parfait dominant celui de son homme la comblait. Les pointes de ses seins s'agitaient dans la chevauchée, à quelques millimètres du torse du soumis.
Elle aurait aimé les donner à lécher à son esclave, mais elle voulait s'en tenir à sa première idée. Au final, Linda était aussi frustrée que son partenaire par la règle qu'elle leur imposait. Leurs respirations accéléraient au rythme des mouvements verticaux du bassin de la Belle. Ses jambes commençaient à fatiguer de l'effort qu'elle leur imposait.
Les allées et venues du gland de Thomas dans son antre humide finirent par déclencher des spasmes de plaisir, qui raisonnèrent dans son corps. Un puissant orgasme vient arracher un cri sauvage de plaisir à Linda. Elle chevaucha de plus belle sa monture, qui avait du mal à contenir son envie de se répandre. Sa jouissance dura une vingtaine de secondes, elle sentit la cyprine couler abondamment sur les cuisses de son mari. Il sentit également le liquide chaud et léger asperger ses jambes. Thomas était fou d'envie. Le sexe de sa Maîtresse qui avalait le bout de sa queue, le contact des gants de latex, les cris de plaisir, il crevait d'envie de jouir. Quelques allées et venues de la chatte humide allaient suffire à déclencher son orgasme, retardé par le préservatif.
Mais Linda s'arrêta avant. Épuisée, elle s'abandonna, reposant ses fesses sur son soumis. Sa tête s'inclina en avant et vint se lover dans le cou de son homme. Elle l'aimait plus que tout. Son endurance l'impressionnait. Elle déposa quelques baisers sur la peau chaude et transpirante.
"- Merci mon Amour" chuchota-t-elle tendrement au creux de l'oreille.
Elle avait cessé un instant d'être sa Maîtresse. Linda s'interrogea tout de même: n'était-ce pas à ce moment-là qu'elle savourait le plus le nouveau pouvoir qu'elle avait sur Thomas: quand elle redevenait elle-même.
Son corps quitta celui encore tremblant de son mari. Elle l'abandonnait sur le point de jouir, ligoté au milieu du salon.
Elle s'offrit une bonne douche.
Le jet brûlant parcourait son corps encore sensible, quand elle entendit Thomas gémir.
Linda poursuivit sa toilette sans se soucier des appels de son soumis. C’est toute propre qu’elle regagna le salon. Thomas, toujours aveugle, mendiait pour un orgasme.
« -J’en ai trop besoin Maîtresse, mes testicules me font mal…
- Il est hors de question que tu jouisses, et pour avoir gémit pendant que ta Maîtresse se lavait, tu dormiras dans le salon!» répondit la jeune femme nue.
Elle détacha les chevilles du soumis, et le souleva par les poignets liés. Telle une geôlière, elle le guida au canapé.
« - Comme je suis cruelle mais pas injuste, je t’ai préparé un bon repas pour ton retour du travail. Mais comme tu ne sais pas te tenir, tu vas le manger à même la gamelle. Reste sage jusqu’à mon retour. »
Linda gagna la cuisine d’une démarche chaloupée que ne pouvait voir son chien, toujours aveuglé par son bandeau. Elle réchauffa quelques instants le porc à l’ananas et le riz qu’elle avait amoureusement préparés. Plutôt que de dresser ce met dans une assiette, elle l’apporta dans la boîte plastique qui l’abritait au réfrigérateur. Elle déposa la gamelle devant le canapé, et retira le masque de son soumis.
« - Mets toi à quatre pattes, et mange ce que te donne ta Maîtresse.
- Bien, Maîtresse. »
« Pour une première soirée, elle va loin », pensa Thomas. Il s’exécuta, et commença à laper la nourriture tiède. La vue des pieds de sa Maîtresse l’excitait, autant que l’humiliation qu’il subissait.
« - Bien, ne t’avise pas d’en mettre à côté de la gamelle. Cette nuit tu dormiras dans le salon. Je vais t’apporter une couverture. Je ne veux pas t’entendre jusqu’à mon réveil. Tâche d’être reposé, la journée de demain sera longue. »
Les ordres étaient courts et précis. Thomas n’avait d’autre choix que de dormir hors de son lit conjugal. Lui qui rêvait de jouir ne pouvait même pas profiter de sa jolie femme, car elle était devenue sa Maîtresse. Un comble ! Elle le regarda manger quelques instants, les bras croisés. Il devinait qu’elle était excitée de voir son mari accroupi dans leur salon, en train de manger son repas sans couverts. Linda disparut quelques secondes et déposa une couverture à l’intention de son esclave. Elle éteint la lumière et regagna leur chambre.
Thomas finit son repas et se coucha dans le canapé, comme sa dresseuse le lui avait ordonné. Il s’endormait difficilement, notamment à cause de la douleur qui lui tenaillait les testicules. Sa femme, elle, songeait au lendemain. Elle avait hâte de se transformer en authentique Domina, et de passer du temps avec son nouveau mari. En effet, dans ses faiblesses, il l’excitait plus que jamais. Elle adorait cette situation, qui lui demandait certes d’être inventive, mais qui lui permettait de jouir tant qu’elle voulait, sans se soucier du plaisir de son homme…qui passait en fait par celui de sa Maîtresse. C’est en songeant à son époux, couché dans la pièce voisine, sans doute encore frustré de n’avoir pas joui, quelle décidé de se caresser.
Linda glissa une main sous les draps, elle parcouru ses seins, son ventre, et gagna rapidement son entrejambe humide. Sans détour, elle débuta des mouvements circulaires avec le majeur sur son clitoris. Désirant faire monter la température chez son compagnon puni, elle décida de se laisser aller à des « vocalises ». A chaque fois qu’elle appuyait un peu plus la caresse, elle laissait échapper un « mmmmh » de contentement…qui se transforma bientôt en de longs et langoureux
«oooouuuiiii ».
Thomas entendait sa Maîtresse gémir de plaisir. Etait-elle seule ? Avec une femme ? Un autre homme ? Il bouillonnait d’envie de savoir ce qu’elle faisait. Il voulait voir ce qui lui procurait tant de plaisir. Frustré et jaloux, il se forçait à ne pas quitter son lit de fortune.
Linda, s’amenait lentement mais sûrement vers l’orgasme. Lorsqu’elle jugeait que son doigt était trop sec, elle pénétrait son sexe dégoulinant de façon à attraper une perle humide. Elle lubrifiait son petit bouton, et reprenait sa danse de plus belle. Son bassin ondulait, sa main alternait des caresses et des pénétrations, puis elle concentra son énergie sur le clitoris gonflé. Elle accéléra les mouvements circulaires, se mordant les lèvres, et finit par une série de cris aigus. Elle explosait. Sans lui. Mais pas sans y penser. Son mâle devait être fou, elle rêvait de passer la porte et de le soulager. Mais elle était plus forte que ça. Elle était devenue sa Maîtresse. « Vivement demain », pensa-t-elle, heureuse et impatiente, mais sereine pour s’endormir.
Thomas était loin de cet état de quiétude. Que lui réservait-elle ?
*****
Thomas sentit sa couverture glisser le long de son corps. La morsure fraîche de l'air du salon vint croquer son épaule, son dos, ses fesses. Il se souvint alors qu'il dormait nu comme un vers. Une autre morsure vint bientôt remplacer celle du froid: Linda parcourait la peau douce de son mari du bout des lèvres. Elle mordillait à l'occasion les endroits qu'elle jugeait les plus tendres.
"- Bonjour, tu as bien dormi? demanda-t-elle, jetant un regard complice à son lionceau encore émergeant.
- Mmmmoui, mais je me suis senti bien seul...et j'ai entendu des cris suspects dans la chambre...
- Ta Maîtresse s'est offert un plaisir solitaire! avoua la jeune femme. J'espère que tu ne t'es pas tripoté pendant la nuit?
- Non, j'ai tant bien que mal résisté à l'envie.
- C'est très bien ça! Je suis fière de toi!"
Assise sur le bord du canapé, Linda caressait les cheveux en bataille tout en prononçant ces mots. Thomas s'offrait avec plaisir à cette main qui devint rapidement baladeuse, descendant sur le torse du jeune homme, effleurant ses pectoraux, ses bras encore entravés, dessinant des arabesques sur le ventre musclé.
Lorsqu'elle s'attarda sur le bas-ventre, elle rencontra le sexe déjà tendu du soumis. Sans un mot, elle l'empoigna avec douceur et fermeté, et déroula la peau du prépuce. Les doigts jouèrent quelques instants avec le gland ainsi offert. Thomas soupirait de plaisir, refermant les yeux. Rêvait-il?
Ses doutes se dissipèrent lorsque Linda se releva.
"- Allez, debout, paresseux! Je ne vais pas passer la matinée à te caresser! Va prendre une douche pendant que je prépare le petit-déjeuner! Une longue journée nous attend."
Vêtue d'une nuisette satin noir très élégante, la jolie brune disparut dans la cuisine. Thomas gagna la salle de bain.
Les deux amants se retrouvèrent pour un tête-à-tête inédit. L'un mangeait sa Maîtresse du regard, l'autre caressait son soumis du bout du pied sous la table. "Elle est bien entreprenante avec moi, ce matin", songea Thomas.
"- Je veux que tu passes la journée à bander! Régulièrement je vérifierai! Ça ne te fait pas trop mal?
- Si, et je crois bien que la délivrance s'impose comme LA solution."
Thomas se souvint que sa Maîtresse appréciait peu qu'il mendie un orgasme. Il se rattrapa.
"- Mais je m'en remets à Vous pour décider du moment opportun, ajouta-t-il.
- Parfait, je vois que tu comprends vite. Seuls les chiens ne savent pas retenir leurs pulsions. Je vais me faire belle, on part dans une petite demie-heure, j'ai repéré quelques boutiques sur le chemin de notre destination.
- Mais Vous êtes DÉJÀ belle, Maîtresse!"
Thomas trouvait surnaturel de vouvoyer sa propre femme au petit-déjeuner, dans leur cuisine. Mais ce paradoxe l'excitait. La soumission faisait son entrée dans leur vie quotidienne. Linda prenait les rennes à la perfection.
Après quelques minutes de marche, main dans la main, le couple ralentit à l'approche d'une première boutique. Thomas s'arrêta devant la vitrine. Des bottes, des escarpins, des sandales, que des chaussures très sexys. Les prix étaient aussi hauts que les talons.
"-Entrons!" décida Linda, qui s'engouffra la première dans la boutique. Sa démarche était légère. Elle portait un débardeur gris chiné à fines bretelles, un short noir très élégant, s'arrêtant à mi-cuisses. Ses ballerines, noires également, étaient assorties à son sac. Bien que très féminine, elle aimait se promener vêtue simplement. Jusque là, elle réservait les tenues plus strictes et élaborées aux jours de travail. Mais elle comptait bien changer ses habitudes pour la semaine à venir.
La vendeuse accueillit le jeune couple d'un large sourire. Linda se surprit à la trouver plutôt belle. Cette petite brune perchée sur des escarpins avait un regard pétillant, ses yeux semblaient scruter chaque détail de ses clients.
"- Bonjour! N'hésitez pas à demander votre taille, si vous désirez essayer un modèle! proposa-t-elle d'un ton enjoué
- Nous n'y manquerons pas, répondit Linda."
Elle regardait d'un nouvel œil les merveilles qui s'offraient à ses yeux. La Maîtresse en devenir imaginait tantôt les talons aiguille s'enfoncer dans la peau de son soumis, tantôt la langue de ce dernier parcourir la fine bride fermant un modèle particulièrement séduisant. Lorsqu'elle prit l'escarpin en main, elle en caressa le cuir, presque avec sensualité. Son mari ne manquait rien de la scène. Il fut surpris lorsque Linda lui tendit la chaussure, la tenant par la bride.
"- Ça te plaît?
- Oui, c'est un joli modèle!
- Le talon semble haut, tu penses que j'arriverais à marcher avec ça?
- Je pense que c'est une habitude à prendre! répondit Thomas, la gorge littéralement nouée, imaginant sa femme déambuler avec ces merveilles au pied.
- Tu ne crois pas que le talon est trop pointu? demanda la jeune femme, un sourire en coin.
- Je pense qu'il est parfait! renchérit-il.
- Je vais les essayer alors!"
La jolie vendeuse, qui n'avait rien perdu du dialogue, s'empressa de chercher l'unique paire qu'elle avait dans la pointure de Linda. Cette dernière regarda d'un œil nouveau la jeune femme s'éloigner dans la réserve. Sa jupe courte et ses escarpins magnifiaient ses jolies jambes.
"- Elle te plaît?" demanda-t-elle à son soumis, qui faisait mine de regarder ailleurs. Sans lui laisser le temps de répondre, Linda se colla à son homme et posa une main sur son pantalon. Elle devina son sexe dressé sous le tissu, qu'elle caressa de haut en bas, comme pour le flatter.
"- Apparemment tu aimes les petites brunes. Ça me rassure, mais tu es vraiment un chien prêt à sauter sur n'importe quoi. Elle doit avoir 19 ans, la petite, et elle te plaît?
- C'est possible qu'elle ait tout juste la vingtaine...mais je n'ai jamais dit qu'elle me plaisait!
- J'ai vu ton regard. Tu n'es qu'un pervers. Tu me déçois.
- Pardon ma Chérie."
Thomas baissait les yeux. Linda exultait. Sa jalousie feinte avait déstabilisé son mari.
"- Comme tu ne fais pas assez remarquer que tu es mien, tu vas m'appeler "Maîtresse" devant cette jeune femme. Je veux qu'elle sache que tu es mon soumis.
- Mais...
- Pas un mot de plus. Elle revient. Tiens t'en à mes ordres!"
La jolie brune ouvrit la boîte renfermant les escarpins. Ils étaient en cuir, noirs, le bout arrondi, très féminins. Une bride, plutôt fine, glissait dans un passant pratiqué à l'arrière de la chaussure. Elle était fermée par une petite boucle argentée.
"- Tu me les fais essayer?" demanda Linda à son compagnon, retirant une de ses ballerines.
La jeune vendeuse fut amusée par la proposition de sa cliente. Thomas savait que c'était le moment.
"- Oui...Maîtresse" bafouilla-t-il. Il rougissait. La fille avait deviné les mots du client. Elle aussi rougit, jamais elle n'avait entendu un homme s'adresser ainsi à son épouse. Thomas sortit un escarpin, posa un genou à terre et le glissa sous le pied tendu de sa Maîtresse. Lorsqu'il jugea la chaussure bien ajustée, ses doigts glissèrent sur le cuir, pour venir attacher la bride. Malheureusement, sa maladresse et sa gêne l'empêchaient de fermer la boucle. Linda s'impatientait.
"- Il n'est pas doué, vous pouvez l'aider, s'il-vous-plaît Mademoiselle? demanda-t-elle à la vendeuse.
- Bien sûr, Madame!"
À son tour, elle s'accroupit devant la cliente. Sa jupe remonta sur ses cuisses. Adroitement, elle passa la bride dans la boucle, qu'elle ferma. Linda ne regardait pas ce que faisait la jeune femme. Elle se prenait à rêver d'avoir un soumis et une...soumise à ses pieds.
Thomas sourit en direction la petite brune:
"- Merci, vous êtes plus douée que moi.
- Mais de rien!"
Elle se releva. Thomas regarda une dernière fois les chaussures de près.
"- Elles te plaisent toujours? demanda Linda.
- Oui, elle sont jolies!
- Oui, qui?"
Voilà que la dominatrice recommençait son jeu.
"- Oui...Maîtresse." finit par approuver le soumis. Il était terriblement gêné par la situation, et le charme de la vendeuse ne simplifiait rien. Cette dernière, amusée, se prit au jeu. Elle s'adressa à Thomas:
"- Je peux proposer à votre Maîtresse le même modèle en cuir verni, je vais le chercher?
- Oui, allez-y", répondit Linda, agréablement surprise par la fougue de la jeune fille. Thomas ne savait que dire ou faire. Il restait planté, un genou à terre, au milieu du magasin. "Heureusement que nous sommes les seuls clients", songea-t-il.
Sa Maîtresse le sortit de ses pensées:
"- Tu attends quoi pour me retirer cet escarpin?
- Oups, pardon Maîtresse."
Seul avec sa femme, il avait moins de mal à l'appeler ainsi. Il défit la bride, et retira la chaussure du pied féminin de son épouse, qu'elle posa sur le genou resté fléchi.
La vendeuse réapparut, une nouvelle boîte entre les mains:
"- Ils sont un peu plus chers, mais l'aspect verni est magnifique, et le toucher est...troublant! Essayez-les!
- Merci Mademoiselle" répondit poliment Linda.
Plus habile qu'au premier essai, Thomas passa la bride au-dessus de la fine cheville et la boucla sans problème. Linda posa le talon sur le genou du soumis. Elle aurait juré qu'il bavait à la vue des escarpins luisants. La hauteur des chaussures cambrait délicieusement le pied de la belle avocate. Le cuir découpé laissait entrevoir la naissance des doigts de pied.
"- Elles sont parfaites, je les prends!
- Excellent choix, Madame!" confirma la jeune fille. Se tournant vers Thomas, elle ajouta:
"- Votre Maîtresse est assurément une femme de goût! Vous désirez essayer un autre modèle dans le même style?
- Nous ne prendrons que celles-ci, répondit Linda. Mais nous reviendrons!"
Thomas retira la chaussure du pied de sa Maîtresse. La vendeuse la rangea délicatement dans la boîte, et invita ses clients à la suivre en caisse. Le jeune homme paya les escarpins. Lorsque le couple quitta le magasin, la vendeuse les salua poliment, avec un sourire complice.
"- Tu as été parfait, tu seras récompensé" chuchota Linda à l'oreille de son soumis. Puis elle posa ses lèvres sur celles de son homme. Sa langue glissa impétueusement dans la bouche entrouverte. Après un baiser langoureux, tous deux reprirent leur marche dans la ville. Thomas attendait déjà sa récompense avec impatience
Linda entraîna son soumis dans une boutique dont la devanture était sans équivoque: "Tout pour le SM" était inscrit en rouge sur fond noir.
"- Tu savais qu'une des boutiques les mieux fournies du pays se trouvait dans notre ville? Une chance! s'exclama Linda
- Oui, ça nous évitera d'acheter en ligne", ajouta Thomas.
C'est encore une fois une femme qui accueillit le jeune couple. La quarantaine, rousse, les yeux verts très maquillés, elle portait des cuissardes en cuir noir, une jupe de la même matière, très courte, et un t-shirt noir en coton à l'effigie de la boutique.
"- Bonjour Madame, c'est vous que j'ai eue au téléphone hier? interrogea la patronne.
- Oui c'est bien moi! Comment m'avez-vous reconnue?
- On entre rarement par hasard ici, et vous m'aviez dit que vous viendriez avec votre soumis! Comme prévu, j'ai préparé un petit inventaire des "indispensables" pour vous. Si vous désirez attacher votre chien pour qu'il attende ici, faites comme chez vous!" ajouta-t-elle, tendant à Linda un collier de cuir.
Elle l'attacha à son soumis, et le relia à la chaîne fixée au comptoir que lui désignait la jolie rousse.
Linda caressa le visage de son esclave: "Sois sage, ta Maîtresse reviendra vite! Je ne veux pas que tu voies ce que je vais essayer!"
Après une vingtaine de minutes d'attente, Linda réapparut, chargée d'un large sac en papier. Sa tenue avait quelque peu changée: elle portait désormais une courte jupe de cuir, semblable à celle de la vendeuse, laissant apparaitre ses magnifiques jambes. Le changement le plus radical venait des escarpins neufs qu'elle avait enfilés. Ils lui allaient à merveille.
La patronne passa derrière le comptoir, laissa le soin à sa cliente de détacher Thomas.
"Je vous offre le collier, si vous n'en avez pas déjà un?
- Non je n'en ai pas, c'est très gentil à vous! répondit Linda. Vous ne m'en voudrez pas si je lui retire pour le moment? ajouta-t-elle avec un sourire complice.
- Je vous en prie."
Thomas régla les achats de sa Maîtresse. Sans voir le détail de ses trouvailles, il découvrit un prix exorbitant. Mais la vue des jambes de sa femme, ses chaussures, et la perspective de découvrir ce qu'elle avait acheté l'excitaient au plus haut point, occultant le montant qu'il avait dépensé.
Linda était elle aussi très excitée. Les vêtements et les accessoires qu'elle avait essayés et découverts l'avaient échauffée, et le fait de se promener les fesses presque à l'air, perchée sur ses talons de domina, n'arrangeait rien. Sa petite chatte était littéralement trempée. Il était temps de récompenser son soumis pour sa bonne conduite et de...se récompenser.
Linda entraîna à nouveau Thomas à travers les rues. Il la suivait, hypnotisé par le déhanchement sensuel de sa belle brune, par ces fesses moulées à merveille par le cuir. Il devinait le regard des passants s'attarder sur les cuisses de son épouse. Cette fois, ils regagnèrent leur immeuble.
Lorsqu'ils entrèrent dans l'ascenseur, Linda appuya sur le bouton "Sous-sol".
"- On descend?" demanda naïvement son compagnon.
Sans réponse, il découvrit le parking souterrain. Toujours sans un mot, Linda l'attira dans un coin sombre, lui fit poser leurs achats au sol, et remonta son débardeur, laissant apparaitre ses jolis seins.
"- Baise mes seins, lèche-moi!
- Bien Maîtresse!"
Thomas était surpris mais ravi. Il prit les globes de chair entre des mains, et les engouffra dans sa bouche gourmande. Sa langue parcourait les tétons déjà durcis. Linda soupirait bruyamment.
"- Maintenant je veux que tu me baises ici, mais je t'interdis de jouir.
- Bien Maîtresse."
Thomas glissa une main sous la jupe de cuir, et fut surpris de découvrir que sa femme ne portait pas de dessous. Il posa deux doigts sur le sexe dégoulinant, puis les y enfonça. Linda gémit. Elle replia une jambe, caressant celle de son assaillant. Il attrapa la cuisse ainsi offerte. La belle avocate sortit la verge du soumis, toujours entravée par l'anneau "Puni" et le petit cadenas.
"- Jeudi nous t'enlèverons ça, à condition que tu ne jouisses pas d'ici-là."
Tout en prononçant ces mots, elle branlait le sexe déjà dur de son soumis. D'une main, elle l'aida à trouver l'entrée de la grotte humide. Thomas ne savait plus où donner de la tête: ses mains pétrissaient tour-à-tour les seins durcis et les fesses de sa Maîtresse, sa bouche couvrait la gorge de baisers, et son sexe pénétrait maladroitement le doux fourreau qu'elle lui offrait.
La peur d'être surpris fut exacerbée par le bruit d'un claquement de talons qui faisait écho dans le souterrain.
Linda chuchotait à l'oreille de son esclave, lui tirant les cheveux, tentant de garder le dessus, même si ses pieds ne touchaient plus le sol.
"- Baise-moi, plus fort, enfonce-moi ton pieu au plus profond. Allez, saute dignement ta Maîtresse!!"
Parler ainsi à son homme excitait d'autant plus la brune incendiaire qu'elle le sentait mettre plus d'ardeur dans ses coups de rein. Il la prenait sauvagement, dans un lieu public. Elle pouvait faire de lui ce qu'elle voulait. Son dos cognait le mur au rythme des coups de boutoir de son soumis. Elle agrippait ses mains dans le dos et la chevelure de son étalon.
Bientôt elle se sentit partir, ses yeux se révulsèrent, sa respiration accéléra encore. Ses seins, son petit cul, son sexe tout entier s'enflammèrent sous les assauts de Thomas. Linda explosa dans un orgasme aussi inattendu que puissant. Ses cris résonnèrent dans la pénombre du sous-sol.
Lorsqu'elle avait repris ses esprits, encore dans les bras de son amant, elle croisa le regard d'une cinquantenaire blonde qui rejoignait l'ascenseur. Alerté par le bruit des talons qui s'étaient rapprochés, Thomas se retourna et reconnut l'inconnue exhibitionniste qui l'avait surpris en train de se masturber.
Cette fois-ci il était en pleine affaire avec sa femme.
Amusée par la rencontre impromptue, Linda demanda à son soumis de se retirer quand les portes de l'ascenseur s'étaient refermées sur la cougar. Elle caressa la queue encore luisante de sa mouille.
"- Elle a bien travaillé, je pense que jeudi elle sera libérée!
- Merci Maîtresse!"
Thomas tremblait d'envie de jouir. La moindre sollicitation supplémentaire aurait eu raison de son endurance et de sa volonté de se conformer au désir de sa Maîtresse. Il se rhabilla, et suivit Linda dans l'ascenseur.
"Vivement jeudi, ça va être un feu d'artifice" pensa-t-il.
Malgré l'envie irrépressible de jouir de Thomas, l'attente jusqu'au jeudi suivant ne fut pas si longue que ça. Ce qui devenait presque une routine pour le couple avait été quelque peu chamboulé. En raison d'une escale supplémentaire, le steward ne pouvait arriver au Numéro 18 qu'à 20h30.
Linda avait donc tout loisir pour arriver avant lui et tester sa nouvelle tenue de Domina. Sur les coups de 19h00, elle pénétra dans l'immeuble à la décoration raffinée. Simplement vêtue de sa jupe de cuir, d'une petite veste en jean et d'un débardeur noir, elle avait emporté avec elle le sac à l'enseigne bien connue de Laura. Elle accueillit la jeune avocate d'un large sourire dans la première pièce.
"-Je suis contente que tu arrives avant ton soumis. Je vois que tu as fait quelques emplettes, ça te dirait de venir montrer tes trouvailles au "Bar des Maîtresses?
- Je ne connais pas, mais ça l'air encourageant.
- Mais oui tu verras, on y est bien, entre nous!"
Linda était toujours époustouflée par la beauté fatale de son initiatrice. Elle la suivit sans hésiter dans les couloirs dignes d’un labyrinthe. Elle se surprenait à regarder les fesses de la belle brune onduler au rythme de ses pas félins. Les deux femmes arrivèrent bientôt devant la porte couleur grenat, capitonnée de cuir.
A l’intérieur la novice découvrit une ambiance feutrée. Pas de soumis ici, juste quatre femmes, très élégantes, en train de discuter paisiblement, lovées dans d’imposants fauteuils « club ».
« - Mes chères amies, je vous présente Linda, pour celles qui ne la connaissent pas encore !
- Bonsoir, je suis Anaïs. »
Ma femme quitta son fauteuil et rejoint bientôt la jeune brunette, non pas tant pour la saluer que pour découvrir ce que renfermait son sac. L’envie de découvrir son contenu faisait l’unanimité chez les Maîtresses réunies. L’épouse de Thomas écarta les côtés du sac, et la découverte que fit Laura lui arracha un « Oooh ! » d’admiration. Les têtes impatientes de ses consoeurs parvinrent bientôt à deviner l’objet de toutes les curiosités. Pour mettre fin au suspens, Linda proposa d’aller se changer et de réapparaître vêtue de ce vêtement si spécial.
Quelques minutes s’écoulèrent. Anaïs, Laura, et Julie, partageaient leurs premières impressions sur leur nouvelle amie. Cette dernière fit l’effet d’une bombe lors de sa seconde entrée dans le bar. Vêtue d’une combinaison en vinyle qui laissait ses seins nus, ainsi que son entrejambe, qu’elle dissimulait sous un string également en vinyle, Linda défila telle une fashionista sous les yeux médusés des dominas en présence. Les talons qu’elle portait affinaient encore sa silhouette, déjà moulée par la matière noire brillante. La combinaison débutait aux chevilles de la jeune femme, et se terminait en un décolleté laissant apparaître ses deux seins, tétons compris. Une fine bande de vinyle faisait le tour du cou délicat de la Maîtresse, et rejoignait le dos de la tenue.
« - Je crois qu’on va se battre pour être sous ses ordres ! complimenta Laura.
- Tu es magnifique, ma Belle ! Le vinyle te va superbement bien ! Et tu vas découvrir son effet sur les soumises et les soumis ! renchérit Anaïs.
- Je peux toucher ? demanda Julie, la plus jeune du groupe.
- Bien sûr ; je t’en prie. »
Plus que toucher, la jolie blonde caressa littéralement la belle avocate, s’attardant même sur ses seins durcis par l’excitation. Linda prenait goût à être le centre d’intérêt.
A quelques centaines de kilomètres de là, à plusieurs milliers de mètres d’altitude, il y en avait un autre qui n’allait pas tarder à devenir le centre d’intérêt, d’un tout autre public. Avant de débuter le service en vol, Thomas avait l’habitude de plaisanter avec son ami Sylvain. C’était à celui qui ferait la blague la plus potache, sans pour autant se faire remarquer des passagers.
Ce coup-ci, c’est le plus âgé des deux qui s’y colla. Sylvain fit mine d’avoir quelque chose à montrer sur son épaule. Naïf, Thomas jeta un œil. Son collègue en profita pour lui coller une main au paquet. Le plus surpris des deux ne fut pas Thomas. En effet, les doigts de son ami ne soupesèrent pas les bourses du jeune steward, comme prévu, mais quelque chose de dur, qui semblait froid et anguleux. Le regard de surprise du blagueur fut sans équivoque, et la victime comprit vite que quelque chose de grave s’était peut-être joué. Devant les passagers, Sylvain eut du mal à contenir son malaise, mais ne dit mot. "Se faire tripoter les testicules par un collègue, le jour où on porte un cadenas sous les bourses, c'est vraiment pas de bol" se dit le malchanceux.
Thomas connaissait les ragots de compagnies aériennes, et savait que dans moins de 24 heures une ribambelle de pilotes et d’hôtesses allaient être au courant d’Orly à Tokyo qu’un steward a des testicules en fer forgé.
C’est fatigué et quelque peu stressé qu’il arriva enfin au numéro 18. C’est Laura qui l’accueillit. Immédiatement, elle le mit à quatre pattes et le promena, puis le fit patienter à genoux devant la porte du Bar des Maîtresses. Le soumis allait découvrir sa femme, plus volcanique que jamais.
A suivre...
noir et blanc
Sur la publication précédente, j’ai été heureuse de voir que la photo illustrant l’excellent récit de Plummedhomme a été très bien accueillie. Merci à toutes et tous pour vos très gentils messages ! Alors, afin de prolonger au moins un temps l’atmosphère du récit, j’ai décidé de rester dans le noir et blanc avec des photos issues du même shooting
léchages de sandales
Je me rends compte que ça fait un moment que je n’ai pas publié une série consacrée aux pratiques fétichistes. Alors pour les amateurs de petits jeux de léchages, voici donc une série où pour la circonstance j’ai chaussé des sandales noires à plateaux. Si sur un plan purement esthétique, ces sandales sont loin d’être le style que préfère, leur look les rend toutefois incontournables dans des jeux fétichistes. Qu'en dites vous?
Lire les commentaires textes
Bonjour Charly, je suis ravie que cette paire et qu'elle te donne envie d'être à mes pieds hi hi!
merci pour ton gentil mot, bisous
Bonjour Céré et Domi, non vous ne vous trompez pas, ces escarpins sont très agréables à porter et au toucher (ce qui est important aussi vous en conviendrez) hi hi...merci pour votre gentil mot!
gros bisous les filles
j'adore je suis amoureux tres belles paires qu'on aimerai etre a tes pieds kiss la belles
De merveilleux escarpins dont le talon chromé est magnifique. On a agrandi les photos, bien sûr et la photo 4 nous fait penser que la matière de ces escarpins est douce, agréable au toucher et (on peut se tromper) qu'il y a comme un chouïa d'elasticité. Agréable série. Comme d'hab ! Mille gros bisous tout tendres !
Bonjour Louis, je vois que toi aussi tu n'apprécies pas plus que ça ces escarpins...j'essaierai de me rattrapper sur de prochaines séries!
merci pour ton com
Bof, Bof, à part un talon d'une vertigineuse hauteur et d'une froideur matéallique je suppose au toucher, visuellement, il ne mets pas tes pieds sublime en valeur je trouve. Bisous déesse
Bonsoir Patrick, je connais ton goût prononcé pour les mules et les sandales mais je sais bien que ça n'a rien d'exclusif et je comprends parfaitement que tu puisses ne pas aimer ce modèle. J'espère que tu appréciera mes prochaines publications
merci pour ton com
Je n'apprécie heureusement pas que les mûles et vu tous les nombreux modèles que tu nous déjà fait découvrir c'est bien la seul et unique foi où je suis déçu , mais ce n'est vraiment pas important, après tout il en faut pour tous le monde.
A très vite
Patrick
Bonsoir Patrice, je suis ravie que ces chaussures te plaisent
merci pour ton gentil com
Bonjour Patrick, connaissant tes goûts affirmés pour les mules, cela ne m'étonne pas tant que ça que ce modèle ne te plaise pas
merci pour ton message
Bonsoir Etienne, je vois que tu partages mes goûts et constate que ce modèle t'inspire hi hi!
merci pour ton gentil message
bonjourrrrrrrrrrr fdc!
encore de bien jolies chaussures! magnifiques escarpins aux bouts (qui laisse découvrir de jolis orteilles ) ouverts avec un talon chromé pour mettre le tout en valeur! Merci fdc! c'est trop beaux! hummm !
avec aussi toujours la même finesse et beauté de tes adorables petits peton
et bien voila tout arrive .................... je n'aime pas du tout cette paire, mais c'est un avis tout a fait personnel . vivement tous de même les prochaine
bises
patrick
Bonsoir Ma Reine,
Wouaouuu, je suis toujours en admiration devant vos pieds sublimes.
J'aime cette paire et comme vous le mélange de matière donne souvent ds paires très esthétiques. La le chrome donne un petit coté dominateur je trouve qui n'est pas sans rappelé votre statue de Maîtresse a mes yeux de jeune soumis ;).
Hummmmmmmmmmmmmmm que j'aimerais que cette paire de chaussure se balade sur mon corps...
Que j'aime aussi ce verni rouge à vos pieds qui me fait totalement chaviré et me donne encore plus envie de vous embrasser les pieds avec passion et désirs.
J'aime également la position de vos jambes dans la 1ere photo. Le pied un peu en avant comme pour inciter un jeune esclave à se jeter à vos pieds ;).
Je reste votre adorateur Princesse.
A très vite.
Etienne